Abidjan - Le premier panel de haut niveau de l’Union africaine (UA) sur "l’égalité du genre et l’autonomisation de la femme dans le contexte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) après 2015 ", ouvert mercredi à Abidjan, a pris fin vendredi par l’adoption de recommandations invitant les Etats africains à accroître la représentation des femmes dans les postes de décisions politiques, à toux les niveaux.
Le panel qui avait pour objectif de produire la contribution de la femme africaine en vue de son intégration dans le document relatif à la position commune africaine dans l’agenda de développement post 2015, propose de conduire des recherches en vue de produire des données sur la participation et la représentation des femmes dans la vie politique et dans les postes de décisions, afin que ces recherches servent de stratégies de pression pour parvenir à l’égalité du genre.
Les panelistes composés de plusieurs experts en genre, d’universitaires et de représentants d’ONG féminines, recommandent par ailleurs de mobiliser et d’engager les ressources exogènes et endogènes pour la promotion de la gente féminine. Ce, en s’assurant que tous les indicateurs pertinents soient désagrégés sur la base du sexe et de l’âge, afin de mesurer les progrès dans l’attente de l’égalité du genre.
Les participants ont aussi suggéré aux Etats membres de l’UA d’assurer la protection des femmes, des filles et des enfants contre la violence basée sur le genre, le mariage précoce et les mutilations génitales.
La ministre ivoirienne de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a exprimé son satisfecit sur la qualité des recommandations. Elle a assuré de l’engagement de son ministère et du Gouvernement à faire de l’égalité du genre et l’autonomisation de la femme, une priorité.
Mme Ouloto a remercié le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, la Grande chancelière de l'Ordre national, Mme Henriette Dagri-Diabaté et les organismes internationaux, pour leur soutien à la promotion de la femme.
Ce premier panel de haut niveau a été organisé conjointement avec le ministère ivoirien de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, avec le soutien du Pnud, de l’Unicef, de l’Unfpa, de la CEA et d’ONU Femme.
Le choix du thème de ce panel se justifie par le fait que l’opinion des femmes doit être pris en compte dans l’évaluation des OMD et dans l’élaboration de l’agenda de développement post-2015 ainsi que dans la mise en œuvre de la décennie de la femme africaine.
amak/cmas
Le panel qui avait pour objectif de produire la contribution de la femme africaine en vue de son intégration dans le document relatif à la position commune africaine dans l’agenda de développement post 2015, propose de conduire des recherches en vue de produire des données sur la participation et la représentation des femmes dans la vie politique et dans les postes de décisions, afin que ces recherches servent de stratégies de pression pour parvenir à l’égalité du genre.
Les panelistes composés de plusieurs experts en genre, d’universitaires et de représentants d’ONG féminines, recommandent par ailleurs de mobiliser et d’engager les ressources exogènes et endogènes pour la promotion de la gente féminine. Ce, en s’assurant que tous les indicateurs pertinents soient désagrégés sur la base du sexe et de l’âge, afin de mesurer les progrès dans l’attente de l’égalité du genre.
Les participants ont aussi suggéré aux Etats membres de l’UA d’assurer la protection des femmes, des filles et des enfants contre la violence basée sur le genre, le mariage précoce et les mutilations génitales.
La ministre ivoirienne de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a exprimé son satisfecit sur la qualité des recommandations. Elle a assuré de l’engagement de son ministère et du Gouvernement à faire de l’égalité du genre et l’autonomisation de la femme, une priorité.
Mme Ouloto a remercié le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, la Grande chancelière de l'Ordre national, Mme Henriette Dagri-Diabaté et les organismes internationaux, pour leur soutien à la promotion de la femme.
Ce premier panel de haut niveau a été organisé conjointement avec le ministère ivoirien de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, avec le soutien du Pnud, de l’Unicef, de l’Unfpa, de la CEA et d’ONU Femme.
Le choix du thème de ce panel se justifie par le fait que l’opinion des femmes doit être pris en compte dans l’évaluation des OMD et dans l’élaboration de l’agenda de développement post-2015 ainsi que dans la mise en œuvre de la décennie de la femme africaine.
amak/cmas
