Le directeur général adjoint (DGA) du Conseil du café-cacao, N’guessan Kouassi Edouard a procédé mardi à Divo, au lancement de la campagne principale 2013 du cacao dans le département.
Cette campagne ouverte le 02 octobre au plan national est marquée par une revalorisation du prix d’achat bord champs qui est passé de 725 FCFA la campagne précédente à 750 francs.
« Cette hausse de 25 FCFA, l’Etat l’a voulu en raison de sa volonté constante d’améliorer les revenus des producteurs », a expliqué N’guessan Edourard.
Le DGA a expliqué au monde paysan de Divo, les mécanismes de fixation des prix et a invité les planteurs à poursuivre le combat pour la qualité de la production qui a une incidence sur leurs revenus.
« Au cours de la campagne écoulée, on a eu une nette amélioration de la qualité du cacao ivoirien. Je vous en félicite. Il faut continuer selon les mêmes pratiques que vous conseille l’Anader (Agence nationale d'appui au développement rural).
Selon l’émissaire du Conseil du café-cacao, les paysans qui relâcheront les efforts en paieront le prix fort. « Celui qui sortira du schéma de la qualité ne sera pas payé comme il faut et ne devra s’en prendre qu’à lui-même », a-t-il prévenu.
L'adjoint de Mme Massandjé Touré-Litse a enfin rappelé que le respect du prix garanti est une obligation pour tous les opérateurs de la filière, notamment les acheteurs. Les contrevenants étant sujets à des poursuites judiciaires. « Nos agents ont été assermentés auprès des tribunaux. Leurs rapports peuvent conduire à la prison », a précisé N’guessan Edouard.
Plusieurs intervenants du monde paysan ont salué l’augmentation du prix au producteur et promis de continuer à faire de la qualité. Ils ont également promis de fédérer leurs nombreuses structures coopératives afin de gagner en efficacité.
Le département de Divo compte un peu plus de 150 coopératives, rappelle-t-on.
gso/cmas
Cette campagne ouverte le 02 octobre au plan national est marquée par une revalorisation du prix d’achat bord champs qui est passé de 725 FCFA la campagne précédente à 750 francs.
« Cette hausse de 25 FCFA, l’Etat l’a voulu en raison de sa volonté constante d’améliorer les revenus des producteurs », a expliqué N’guessan Edourard.
Le DGA a expliqué au monde paysan de Divo, les mécanismes de fixation des prix et a invité les planteurs à poursuivre le combat pour la qualité de la production qui a une incidence sur leurs revenus.
« Au cours de la campagne écoulée, on a eu une nette amélioration de la qualité du cacao ivoirien. Je vous en félicite. Il faut continuer selon les mêmes pratiques que vous conseille l’Anader (Agence nationale d'appui au développement rural).
Selon l’émissaire du Conseil du café-cacao, les paysans qui relâcheront les efforts en paieront le prix fort. « Celui qui sortira du schéma de la qualité ne sera pas payé comme il faut et ne devra s’en prendre qu’à lui-même », a-t-il prévenu.
L'adjoint de Mme Massandjé Touré-Litse a enfin rappelé que le respect du prix garanti est une obligation pour tous les opérateurs de la filière, notamment les acheteurs. Les contrevenants étant sujets à des poursuites judiciaires. « Nos agents ont été assermentés auprès des tribunaux. Leurs rapports peuvent conduire à la prison », a précisé N’guessan Edouard.
Plusieurs intervenants du monde paysan ont salué l’augmentation du prix au producteur et promis de continuer à faire de la qualité. Ils ont également promis de fédérer leurs nombreuses structures coopératives afin de gagner en efficacité.
Le département de Divo compte un peu plus de 150 coopératives, rappelle-t-on.
gso/cmas