La circonscription de l’enseignement primaire de M’Bahiakro(centre,région d’Iffou) souffre actuellement d’un déficit d’enseignants, et les besoins, selon les estimations de l’inspection, s’élèvent à plus de 170 instituteurs.
Cette situation, qui perdure depuis des années, n’a pas encore trouvé de solution aux yeux des autorités compétentes. En effet, dans une partie du département, notamment la sous-préfecture de Bonguéra, occupée lors de la crise de 2002, l’école doit sa survie aux enseignants volontaires.
Aujourd’hui encore, le constat dans ces localités est amer. Un ou deux enseignants tiennent des écoles dans de nombreux villages. C’est le cas de Sandougou avec un seul instituteur pour 250 élèves de differents niveaux.
A Totodougou, il y a deux instituteurs pour 379 élèves. Ces fonctionnaires, fidèles à leur serment, tentent de dispenser le savoir par des stratégies dont ils sont seuls à avoir le secret. Avec la construction récente de bâtiments de trois classes dans neuf villages, dans le cadre du Programme présidentiel d’urgencen(PPU), le besoin en enseignants n’a fait que s’accentuer.
C’est donc avec beaucoup d’impatience et d’espoir que M’Bahiakro attend la décision d’affectation des enseignants qui viennent d’achever leur formation, a-t-on appris.
(AIP)
Cette situation, qui perdure depuis des années, n’a pas encore trouvé de solution aux yeux des autorités compétentes. En effet, dans une partie du département, notamment la sous-préfecture de Bonguéra, occupée lors de la crise de 2002, l’école doit sa survie aux enseignants volontaires.
Aujourd’hui encore, le constat dans ces localités est amer. Un ou deux enseignants tiennent des écoles dans de nombreux villages. C’est le cas de Sandougou avec un seul instituteur pour 250 élèves de differents niveaux.
A Totodougou, il y a deux instituteurs pour 379 élèves. Ces fonctionnaires, fidèles à leur serment, tentent de dispenser le savoir par des stratégies dont ils sont seuls à avoir le secret. Avec la construction récente de bâtiments de trois classes dans neuf villages, dans le cadre du Programme présidentiel d’urgencen(PPU), le besoin en enseignants n’a fait que s’accentuer.
C’est donc avec beaucoup d’impatience et d’espoir que M’Bahiakro attend la décision d’affectation des enseignants qui viennent d’achever leur formation, a-t-on appris.
(AIP)