ABIDJAN - Une bande armée a attaqué vendredi un convoi de véhicules sur l'axe Marah-Dikodougou (nord), faisant un mort et plusieurs blessés, a-t-on appris de source sécuritaire.
Des minibus communément appelé "Badjan" et plusieurs autres véhicules sont tombés dans une embuscade tendue par des individus armés. L'un des minibus qui avait du mal à stationner en raison d'ennuis mécaniques a été mitraillé par les quidams, tuant un passager assis à l'arrière de l'engin.
Les hommes armés ont par la suite délesté plusieurs occupants des minibus se sont évaporés dans la nature après leur forfait.
Les bandes armées appelés communément "coupeurs de route" sévissent depuis plusieurs mois sur des routes de plusieurs régions du pays, notamment le nord, l'ouest et le centre.
Des convois officiels et des patrouilles des forces de sécurité ont même été attaqués par ces quidams dans des localités du centre et du nord, faisant plusieurs tués parmi les civils et les militaires.
Face à la persistance du phénomène, les autorités ivoiriennes ont pris le taureau par les cornes et ont décidé de prendre des mesures d'envergure. Sous leur houlette, des unités d'élite ont commencé leur déploiement à l'intérieur du pays dans le but de freiner les agissements des bandes armées.
Des minibus communément appelé "Badjan" et plusieurs autres véhicules sont tombés dans une embuscade tendue par des individus armés. L'un des minibus qui avait du mal à stationner en raison d'ennuis mécaniques a été mitraillé par les quidams, tuant un passager assis à l'arrière de l'engin.
Les hommes armés ont par la suite délesté plusieurs occupants des minibus se sont évaporés dans la nature après leur forfait.
Les bandes armées appelés communément "coupeurs de route" sévissent depuis plusieurs mois sur des routes de plusieurs régions du pays, notamment le nord, l'ouest et le centre.
Des convois officiels et des patrouilles des forces de sécurité ont même été attaqués par ces quidams dans des localités du centre et du nord, faisant plusieurs tués parmi les civils et les militaires.
Face à la persistance du phénomène, les autorités ivoiriennes ont pris le taureau par les cornes et ont décidé de prendre des mesures d'envergure. Sous leur houlette, des unités d'élite ont commencé leur déploiement à l'intérieur du pays dans le but de freiner les agissements des bandes armées.