«Même si tu n'aimes pas le lièvre, il faut reconnaître qu'il court vite », dit un adage désormais bien populaire. En seulement deux ans d’exercice du pouvoir Ouattara, la Côte d’Ivoire a changé. Pour ne pas dire qu’elle s’est métamorphosée. D’une situation d’agonie, le pays n’est plus convalescent, il se porte comme un charme. Certes, tout n’est pas rose. La vie coûte encore cher, les Ivoiriens restent relativement pauvres et les jeunes, qui cherchent du travail, sont nombreux. Il ne faut pas non plus se voiler la face et faire comme s’il ne s’était rien passé dans le pays alors qu’on était, il y a à peine 24 mois, au plus profond du gouffre, voire au bord de la rupture.
On ne le dit peut-être pas assez ou encore feint-on de l’oublier, Alassane Ouattara n’a pas hérité d’un pays normal. Mais, plutôt d’un Etat en décomposition. Quand, après quatre mois d’une crise postélectorale particulièrement sanglante et meurtrière, il prenait véritablement les commandes de l’appareil de l’Etat, tout était détruit. Il fallait donc tout reconstruire, repartir de zéro.
Dans un premier temps, il s’est attelé à faire remonter l’ascenseur qui se retrouvait au 5ème sous-sol, parce que ses câbles avaient pété, d’abord au rez-de-chaussée, avant de franchir le 1er ou le 2ème étage. Et force est de constater aujourd’hui que l’ascenseur a retrouvé tous ses automatismes et amorce désormais son ascension vers le sommet, symbolisé par l’émergence à l’horizon 2020.
Et les chantiers qui fleurissent ici et là sont la preuve évidente que la Côte d’Ivoire est entrée dans une nouvelle ère. Celle du progrès et du développement. Ce qui fait plaisir à voir dans le navire ivoire, c’est qu’il est conduit par un homme qui a une vision, des objectifs précis à atteindre. Qui sait où il va exactement.
Les hôtels qui refusent du monde, les routes et les ponts qui sont bâtis nuit et jour, la rigueur qui est revenue dans l’administration, l’université qui est redevenue un temple du savoir… Tout cela ne fait-il pas plaisir à voir ?
C’est une évidence, en seulement deux « petites » années, Ouattara a fait mieux que certains en 10 ans. On peut ne pas l’aimer, on peut pinailler sur ses nombreux voyages à l’extérieur du pays, quoique leur utilité s’imposent à nos jugements parfois déraisonnables, on peut l’accuser de tous les péchés d’Israël, mais il y a une qualité qu’on ne peut lui dénier : il est brillant et travailleur. Même son « meilleur ennemi », Laurent Gbagbo l’a reconnu, du temps où il occupait le Palais présidentiel du Plateau.
C’est pourquoi, les Ivoiriens ont tout intérêt à accorder en 2015, un second mandat à Alassane Ouattara. En si peu de temps, cet homme a largement fait ses preuves et montré combien il pouvait développer la Côte d’Ivoire. Les ouvrages qu’il réalise aujourd’hui, feront demain la fierté de la Côte d’Ivoire.
Parmi tous ceux qui s’agitent aujourd’hui, sur la place publique ou derrière le rideau, pour le fauteuil présidentiel, dans l’optique des échéances électorales de 2015, il est, en toute honnêteté et objectivité, le meilleur choix pour la Côte d’Ivoire. Face à Alassane Ouattara, ce n’est pas Pascal Affi N’guessan, qui fera mieux, puisqu’on l’a déjà vu à l’œuvre sous la Refondation. Ce n’est pas non plus Charles Konan Banny, qui a échoué à réconcilier les Ivoiriens, qui fera la différence. Qui d’autre ? On cherche et on cherche encore…
En 2015, les Ivoiriens seront face à leur destin. Gageons qu’ils feront le choix de la raison et du progrès. Celui de donner un second mandat à Alassane Ouattara, afin qu’ils puissent parachever tous ses chantiers et hisser ainsi la Côte d’Ivoire au rang des Nations émergentes en 2020.
Y. Sangaré
On ne le dit peut-être pas assez ou encore feint-on de l’oublier, Alassane Ouattara n’a pas hérité d’un pays normal. Mais, plutôt d’un Etat en décomposition. Quand, après quatre mois d’une crise postélectorale particulièrement sanglante et meurtrière, il prenait véritablement les commandes de l’appareil de l’Etat, tout était détruit. Il fallait donc tout reconstruire, repartir de zéro.
Dans un premier temps, il s’est attelé à faire remonter l’ascenseur qui se retrouvait au 5ème sous-sol, parce que ses câbles avaient pété, d’abord au rez-de-chaussée, avant de franchir le 1er ou le 2ème étage. Et force est de constater aujourd’hui que l’ascenseur a retrouvé tous ses automatismes et amorce désormais son ascension vers le sommet, symbolisé par l’émergence à l’horizon 2020.
Et les chantiers qui fleurissent ici et là sont la preuve évidente que la Côte d’Ivoire est entrée dans une nouvelle ère. Celle du progrès et du développement. Ce qui fait plaisir à voir dans le navire ivoire, c’est qu’il est conduit par un homme qui a une vision, des objectifs précis à atteindre. Qui sait où il va exactement.
Les hôtels qui refusent du monde, les routes et les ponts qui sont bâtis nuit et jour, la rigueur qui est revenue dans l’administration, l’université qui est redevenue un temple du savoir… Tout cela ne fait-il pas plaisir à voir ?
C’est une évidence, en seulement deux « petites » années, Ouattara a fait mieux que certains en 10 ans. On peut ne pas l’aimer, on peut pinailler sur ses nombreux voyages à l’extérieur du pays, quoique leur utilité s’imposent à nos jugements parfois déraisonnables, on peut l’accuser de tous les péchés d’Israël, mais il y a une qualité qu’on ne peut lui dénier : il est brillant et travailleur. Même son « meilleur ennemi », Laurent Gbagbo l’a reconnu, du temps où il occupait le Palais présidentiel du Plateau.
C’est pourquoi, les Ivoiriens ont tout intérêt à accorder en 2015, un second mandat à Alassane Ouattara. En si peu de temps, cet homme a largement fait ses preuves et montré combien il pouvait développer la Côte d’Ivoire. Les ouvrages qu’il réalise aujourd’hui, feront demain la fierté de la Côte d’Ivoire.
Parmi tous ceux qui s’agitent aujourd’hui, sur la place publique ou derrière le rideau, pour le fauteuil présidentiel, dans l’optique des échéances électorales de 2015, il est, en toute honnêteté et objectivité, le meilleur choix pour la Côte d’Ivoire. Face à Alassane Ouattara, ce n’est pas Pascal Affi N’guessan, qui fera mieux, puisqu’on l’a déjà vu à l’œuvre sous la Refondation. Ce n’est pas non plus Charles Konan Banny, qui a échoué à réconcilier les Ivoiriens, qui fera la différence. Qui d’autre ? On cherche et on cherche encore…
En 2015, les Ivoiriens seront face à leur destin. Gageons qu’ils feront le choix de la raison et du progrès. Celui de donner un second mandat à Alassane Ouattara, afin qu’ils puissent parachever tous ses chantiers et hisser ainsi la Côte d’Ivoire au rang des Nations émergentes en 2020.
Y. Sangaré