Un expert du fonds interprofessionnel pour la recherche et la conseil agricole, Jean Paul Lorng, propose de bonnes pratiques culturales et l’usage d’intrants, pour atteindre une autosuffisance alimentaire en Côte d’Ivoire à l’échéance 2016.
« Si on opte pour des bonnes pratiques culturales au niveau des producteurs, et si on introduit l'utilisation des intrants (engrais-herbicides), la production actuelle de riz sera doublée d'ici à 2016", a affirmé M. Lorng, coordonnateur adjoint du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (Waapp/ Paapp 1b), au terme d'un atelier national regroupant des producteurs de riz, avec la Banque Mondiale, samedi à Agboville.
« Une semence de qualité permet d'améliorer la production de 40 % », a soutenu M. Lorng, qui conduisait une délégation conjointe Banque Mondiale-Etat, à ces travaux.
Le Waapp met à la disposition des producteurs, les bonnes semences et agit aussi sur le volet commercialisation, à travers des pools de développement. Il s'agit d'un système qui permet à un industriel, de financer la production, par la mise à disposition des intrants au niveau des producteurs.
« Sur ces deux volets, nous pouvons atteindre les objectifs de l'autosuffisance en 2016 », a soutenu M. Lorng.
Tous les six mois, la Banque Mondiale vient faire l'évaluation des activités menées et c'est dans ce sens que cette réunion a été délocalisée à Agboville, afin de profiter de la visite sur la parcelle du groupement des producteurs rizicoles dudit département, a appris l'AIP.
Plus de quatre milliards de Fcfa seront décaissés par la Banque Mondiale d'ici à 2016, afin d'aider la Côte d'Ivoire à atteindre l'autosuffisance en riz, à la même période.
La prévision en fin 2013 est de 1,4 million de tonnes de riz blanchi.
dd/tm
« Si on opte pour des bonnes pratiques culturales au niveau des producteurs, et si on introduit l'utilisation des intrants (engrais-herbicides), la production actuelle de riz sera doublée d'ici à 2016", a affirmé M. Lorng, coordonnateur adjoint du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l'Ouest (Waapp/ Paapp 1b), au terme d'un atelier national regroupant des producteurs de riz, avec la Banque Mondiale, samedi à Agboville.
« Une semence de qualité permet d'améliorer la production de 40 % », a soutenu M. Lorng, qui conduisait une délégation conjointe Banque Mondiale-Etat, à ces travaux.
Le Waapp met à la disposition des producteurs, les bonnes semences et agit aussi sur le volet commercialisation, à travers des pools de développement. Il s'agit d'un système qui permet à un industriel, de financer la production, par la mise à disposition des intrants au niveau des producteurs.
« Sur ces deux volets, nous pouvons atteindre les objectifs de l'autosuffisance en 2016 », a soutenu M. Lorng.
Tous les six mois, la Banque Mondiale vient faire l'évaluation des activités menées et c'est dans ce sens que cette réunion a été délocalisée à Agboville, afin de profiter de la visite sur la parcelle du groupement des producteurs rizicoles dudit département, a appris l'AIP.
Plus de quatre milliards de Fcfa seront décaissés par la Banque Mondiale d'ici à 2016, afin d'aider la Côte d'Ivoire à atteindre l'autosuffisance en riz, à la même période.
La prévision en fin 2013 est de 1,4 million de tonnes de riz blanchi.
dd/tm