Abidjan - La fédération ivoirienne de football, par la voix du président de la ligue professionnelle de football, Sorry Diabaté, a tranché, ce mercredi, à Abidjan, une folle controverse sur le traitement du sélectionneur national de football des Eléphants-fanion de Côte d'Ivoire, engendrée par une certaine presse qui aurait révélé que celui-ci toucherait un salaire mensuel de 130 millions de francs CFA.
"C’est nous qui payons Lamouchi, et non le Qatar; il ne touche pas 130 millions, contrairement à ce qui se dit", a-t-il fait savoir, soutenant que, depuis 2002, qu'il est à la Fif, "aucun entraîneur n’a touché un salaire de 100 millions". "La Côte d’Ivoire ne peut pas se permettre de payer un tel salaire à un entraîneur », a déclaré M. Diabaté", a-t-il défendu.
Le conférencier qui a reconnu que les ivoiriens ont du mal à accepter le coach franco-tunisien des Eléphants de Côte d’Ivoire, les a toutefois invité à œuvrer pour qu’il réussisse sa mission à la tête de la sélection. "Aucun ivoirien ne veut accepter Lamouchi, et nous le comprenons; mais ce que nous devons faire; c’est prier pour qu’il réussisse et non qu’il échoue; arrêtez de tirer sur lui", a invité.
Sabri Lamouchi a été recruté par la Fif, quelques mois après la Coupe d’Afrique des Nations 2012 du duo Gabon-Guinée Equatoriale, en remplacement de Zahoui François. Un choix de la fédération qui n’est pas du goût de nombreux sportifs ivoiriens pour qui Lamouchi n’a pas encore l’expérience nécessaire pour encadrer une équipe de Côte d’Ivoire, bardée de talents de renommée internationale.
(Aip)
fmo/nf
"C’est nous qui payons Lamouchi, et non le Qatar; il ne touche pas 130 millions, contrairement à ce qui se dit", a-t-il fait savoir, soutenant que, depuis 2002, qu'il est à la Fif, "aucun entraîneur n’a touché un salaire de 100 millions". "La Côte d’Ivoire ne peut pas se permettre de payer un tel salaire à un entraîneur », a déclaré M. Diabaté", a-t-il défendu.
Le conférencier qui a reconnu que les ivoiriens ont du mal à accepter le coach franco-tunisien des Eléphants de Côte d’Ivoire, les a toutefois invité à œuvrer pour qu’il réussisse sa mission à la tête de la sélection. "Aucun ivoirien ne veut accepter Lamouchi, et nous le comprenons; mais ce que nous devons faire; c’est prier pour qu’il réussisse et non qu’il échoue; arrêtez de tirer sur lui", a invité.
Sabri Lamouchi a été recruté par la Fif, quelques mois après la Coupe d’Afrique des Nations 2012 du duo Gabon-Guinée Equatoriale, en remplacement de Zahoui François. Un choix de la fédération qui n’est pas du goût de nombreux sportifs ivoiriens pour qui Lamouchi n’a pas encore l’expérience nécessaire pour encadrer une équipe de Côte d’Ivoire, bardée de talents de renommée internationale.
(Aip)
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