Le coach des Eléphants de Côte d’Ivoire, Norbert Saraka a déploré mercredi, le manque d’attaquants de qualité dans son groupe, au cours de la conférence de presse après le match nul concédé contre le Burkina Faso (2-2), lors de la 3ème journée du tournoi de l’Union économique et monétaire (UEMOA).
"Le problème de l’équipe (de Côte d’Ivoire), c’est l’attaque" a déploré Norbert Saraka qui a pointé du doigt le fait de "l’instabilité de cette sélection locale". Car, a-t-il argumenté, "lorsqu’un joueur s’illustre bien, on le vend" (à un club à l’extérieur du pays), a-t-il expliqué.
"Si Zougoula (Kevin), avait été là, on aurait gagné ce match ", a-t- il ajouté en regrettant le départ le cet attaquant du Séwé sport de San-Pédro qui a signé avec un club de la Roumanie, à quelques semaines de la compétition ouest-africaine.
M. Saraka a toutefois reconnu que la sélection burkinabé est "une bonne équipe et mérite sa place en finale". "Ils ne sont pas venus en Côte d’Ivoire pour regarder la lagune" a ironisé le technicien ivoirien qui peine à trouver ses marques avec la sélection locale du pays tant au niveau du championnat d’Afrique des Nations (Chan) qu’au tournoi de l’Intégration de l’UEMOA.
Les Ivoiriens ont terminé la compétition, à la troisième place avec quatre points derrière le Mali (2è avec 5 pts) et le Burkina Faso (1er avec 5pts +4) et devant le Togo, dernier du groupe A avec seulement (1pts).
Les Etalons du Burkina connaîtront leur adversaire pour la finale prévue samedi, à l’issue des matchs de la troisième journée de la poule B qui regroupe le Bénin (1er ), le Niger (2è), Sénégal (3è) et la Guinée équatoriale (4è). Ces rencontres sont prévues jeudi au stade Robert Champroux de Marcory et au Parc des sports de Treichville.
Le tournoi de l’intégration de l’UEMOA dont l’organisation de l’édition 2013 coûtera près de 500 millions de FCFA, est une compétition qui met aux prises les joueurs locaux des huit pays de l’espace UEMOA avec pour objectif l’éclosion des talents.
Le Comité d’organisation a annoncé qu’à l’issue de l’événement, le vainqueur empochera une enveloppe de cinq millions de FCFA, trois millions de FCFA pour le finaliste, deux millions de FCFA pour l’équipe fair-play et le meilleur buteur repartira avec la somme d’un million FCFA.
Le Sénégal, tenant du titre détient avec la Côte d’Ivoire, le plus grand nombre de titres avec chacun deux trophées à son actif. La dernière édition s’est déroulée au Sénégal en 2011.
JBK/ls/APA
"Le problème de l’équipe (de Côte d’Ivoire), c’est l’attaque" a déploré Norbert Saraka qui a pointé du doigt le fait de "l’instabilité de cette sélection locale". Car, a-t-il argumenté, "lorsqu’un joueur s’illustre bien, on le vend" (à un club à l’extérieur du pays), a-t-il expliqué.
"Si Zougoula (Kevin), avait été là, on aurait gagné ce match ", a-t- il ajouté en regrettant le départ le cet attaquant du Séwé sport de San-Pédro qui a signé avec un club de la Roumanie, à quelques semaines de la compétition ouest-africaine.
M. Saraka a toutefois reconnu que la sélection burkinabé est "une bonne équipe et mérite sa place en finale". "Ils ne sont pas venus en Côte d’Ivoire pour regarder la lagune" a ironisé le technicien ivoirien qui peine à trouver ses marques avec la sélection locale du pays tant au niveau du championnat d’Afrique des Nations (Chan) qu’au tournoi de l’Intégration de l’UEMOA.
Les Ivoiriens ont terminé la compétition, à la troisième place avec quatre points derrière le Mali (2è avec 5 pts) et le Burkina Faso (1er avec 5pts +4) et devant le Togo, dernier du groupe A avec seulement (1pts).
Les Etalons du Burkina connaîtront leur adversaire pour la finale prévue samedi, à l’issue des matchs de la troisième journée de la poule B qui regroupe le Bénin (1er ), le Niger (2è), Sénégal (3è) et la Guinée équatoriale (4è). Ces rencontres sont prévues jeudi au stade Robert Champroux de Marcory et au Parc des sports de Treichville.
Le tournoi de l’intégration de l’UEMOA dont l’organisation de l’édition 2013 coûtera près de 500 millions de FCFA, est une compétition qui met aux prises les joueurs locaux des huit pays de l’espace UEMOA avec pour objectif l’éclosion des talents.
Le Comité d’organisation a annoncé qu’à l’issue de l’événement, le vainqueur empochera une enveloppe de cinq millions de FCFA, trois millions de FCFA pour le finaliste, deux millions de FCFA pour l’équipe fair-play et le meilleur buteur repartira avec la somme d’un million FCFA.
Le Sénégal, tenant du titre détient avec la Côte d’Ivoire, le plus grand nombre de titres avec chacun deux trophées à son actif. La dernière édition s’est déroulée au Sénégal en 2011.
JBK/ls/APA