Alors que l’on attend impatiemment les résultats de l’orientation des bacheliers
dans le privé, certains élèves sont menacés.
Ils sont de plusieurs localités du pays. Des bacheliers qui ont commis des erreurs sur leurs fiches. Afin de régulariser leur situation, la Direction de l’orientation et des examens (Dorex) a affiché sur son site une liste de 110 élèves concernés par ce problème. Selon un proche collaborateur de Cissé Ibrahim Bacongo, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ils seraient bien plus. Et il ne s’agit guère de cas de fraude, mais d’erreurs que ces personnes ont faites sur leurs noms, leurs numéros ou encore leurs dates de naissance. Toutefois, si ces problèmes ne sont pas régularisés à temps, ils peuvent entraîner la non-orientation de ces personnes. « Au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, nous considérons que c’est un problème qu’ils ont avec la Direction des examens et concours (ndlr : Deco). Et ils ne peuvent être orientés sans que cela ne soit réglé », ajoute notre source. Pour ces diplômés, c’est donc une course contre la montre, en supposant qu’ils ont tous eu le temps de jeter un coup d’œil sur le site de la Dorex. Depuis la rigueur instaurée par le ministre de l’Enseignement supérieur dans son département, les cas d’irrégularité sur les diplômes ne cessent d’être détectés. En septembre, ce sont plus de 321 faux bac qui avaient été découverts par les services de Cissé Bacongo. Peu avant, c’était Mme Adohi Krou Viviane, directrice de l’Enseignement supérieur, qui tombait sur un réseau d’étudiants frauduleusement inscrits dans les universités publiques. C’est sûr, le «départ nouveau» a un doux parfum, mais aussi un arrière-goût amer.
Par Raphaël Tanoh
dans le privé, certains élèves sont menacés.
Ils sont de plusieurs localités du pays. Des bacheliers qui ont commis des erreurs sur leurs fiches. Afin de régulariser leur situation, la Direction de l’orientation et des examens (Dorex) a affiché sur son site une liste de 110 élèves concernés par ce problème. Selon un proche collaborateur de Cissé Ibrahim Bacongo, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ils seraient bien plus. Et il ne s’agit guère de cas de fraude, mais d’erreurs que ces personnes ont faites sur leurs noms, leurs numéros ou encore leurs dates de naissance. Toutefois, si ces problèmes ne sont pas régularisés à temps, ils peuvent entraîner la non-orientation de ces personnes. « Au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur, nous considérons que c’est un problème qu’ils ont avec la Direction des examens et concours (ndlr : Deco). Et ils ne peuvent être orientés sans que cela ne soit réglé », ajoute notre source. Pour ces diplômés, c’est donc une course contre la montre, en supposant qu’ils ont tous eu le temps de jeter un coup d’œil sur le site de la Dorex. Depuis la rigueur instaurée par le ministre de l’Enseignement supérieur dans son département, les cas d’irrégularité sur les diplômes ne cessent d’être détectés. En septembre, ce sont plus de 321 faux bac qui avaient été découverts par les services de Cissé Bacongo. Peu avant, c’était Mme Adohi Krou Viviane, directrice de l’Enseignement supérieur, qui tombait sur un réseau d’étudiants frauduleusement inscrits dans les universités publiques. C’est sûr, le «départ nouveau» a un doux parfum, mais aussi un arrière-goût amer.
Par Raphaël Tanoh