Le président ivoirien, Alassane Ouattara, président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), exprime son "indignation" et condamne l’acte "odieux" d’individus armés qui ont enlevé et assassiné samedi à Kidal (Nord Mali) deux journalistes français dans l’exercice de leur métier.
Les journalistes de Radio France Internationale (RFI), Ghislaine Dupont (57 ans) et Claude Verlon (58 ans) ont été enlevés samedi par des hommes armés à 13h00 (heure locale et GMT) devant le domicile d’Ambéry Ag Rhissa, un représentant du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rébellion touareg) qu’ils venaient d’interviewer avant d’être retrouvés morts, les corps criblés de balle, quelques heures plus tard.
Dans un communiqué publié lundi, le président en exercice de la CEDEAO qui a appris "avec indignation" l’assassinat des deux journalistes "condamne cet acte odieux".
La mort des deux journalistes "attriste des millions d’Africains et plonge dans la douleur et l’incompréhension les familles et les proches des victimes", poursuit Alassane Ouattara non sans présenter ses "condoléances les plus attristées aux familles et aux proches des défunts ainsi qu’à l’ensemble de la rédaction de RFI".
Il assure que "la CEDEAO continuera d’oeuvrer pour un retour définitif de la paix et de la sécurité au Mali et dans la région de Kidal en particulier", souligne le communiqué.
Les journalistes de Radio France Internationale (RFI), Ghislaine Dupont (57 ans) et Claude Verlon (58 ans) ont été enlevés samedi par des hommes armés à 13h00 (heure locale et GMT) devant le domicile d’Ambéry Ag Rhissa, un représentant du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rébellion touareg) qu’ils venaient d’interviewer avant d’être retrouvés morts, les corps criblés de balle, quelques heures plus tard.
Dans un communiqué publié lundi, le président en exercice de la CEDEAO qui a appris "avec indignation" l’assassinat des deux journalistes "condamne cet acte odieux".
La mort des deux journalistes "attriste des millions d’Africains et plonge dans la douleur et l’incompréhension les familles et les proches des victimes", poursuit Alassane Ouattara non sans présenter ses "condoléances les plus attristées aux familles et aux proches des défunts ainsi qu’à l’ensemble de la rédaction de RFI".
Il assure que "la CEDEAO continuera d’oeuvrer pour un retour définitif de la paix et de la sécurité au Mali et dans la région de Kidal en particulier", souligne le communiqué.