Le Premier ministre, ministre de l’Economie et des Finances, Daniel Kablan Duncan, a officiellement ouvert le mercredi 6 novembre 2013 à Abidjan, la 16è conférence des pays du Golfe de Guinée sur le gaz (GOG16).
La conférence de 3 jours organisée conjointement par le ministère du Pétrole et de l’Energie, PETROCI et l’Union internationale du gaz (UIG) est l’événement majeur du secteur énergétique de l’Afrique de l’Ouest. Pour le Premier ministre Ivoirien, c’est par la synergie de réflexion et d’actions que le gaz, qui a plusieurs usages, influe sur le développement d’un pays. «Le gaz permet d’avoir un potentiel économique et une capacité industrielle économique (…) La disposition de l’énergie est un facteur clé du développement économique de la Côte d’Ivoire», a-t-il soutenu. Daniel Kablan Duncan a indiqué à cet effet que l’offre en électricité de la Côte d’Ivoire est en hausse depuis 2012. «De 1540 Mégawatts (MW), nous allons passer à 2886 MW en 2018 et 4000 MW en 2020», a estimé le Premier ministre. Il n’a pas éludé la question de l’alternative en fourniture d’électricité que représente le Gaz naturel liquéfié (GNL). C’est pourquoi, M. Duncan a souhaité que de grandes réflexions pour les années à venir sortent du rassemblement à Abidjan de près de 300 cadres supérieurs, preneurs de décisions et leaders du secteur, provenant de pays de toute la région et de la scène internationale. «Que les Etats s’approprient les résultats de vos travaux», a aussi plaidé Daniel Kablan Duncan. Adama Toungara, ministre ivoirien du Pétrole et de l’Energie, a salué la confiance de l’UIG en la Côte d’Ivoire: «C’est en octobre 2012 que la Côte d’Ivoire a été admise à l’Union. Une année s’est écoulée après notre admission et nous sommes désignés pour l’organisation de cet important rendez-vous. C’est une fierté pour mon pays». Jérôme Ferrier, président de l’UIG, a quant à lui, souligné que son organisation rassemble l’ensemble des pays ayant une activité gazière et a indiqué que «l’objectif majeur de notre politique est de disposer d’un gaz sûr et abordable pour les populations». Il a terminé, en lançant un papel aux autres pays africains du Golfe de Guinée non membres de l’Union à les rejoindre pour participer à l’atteinte de cet objectif.
FO
La conférence de 3 jours organisée conjointement par le ministère du Pétrole et de l’Energie, PETROCI et l’Union internationale du gaz (UIG) est l’événement majeur du secteur énergétique de l’Afrique de l’Ouest. Pour le Premier ministre Ivoirien, c’est par la synergie de réflexion et d’actions que le gaz, qui a plusieurs usages, influe sur le développement d’un pays. «Le gaz permet d’avoir un potentiel économique et une capacité industrielle économique (…) La disposition de l’énergie est un facteur clé du développement économique de la Côte d’Ivoire», a-t-il soutenu. Daniel Kablan Duncan a indiqué à cet effet que l’offre en électricité de la Côte d’Ivoire est en hausse depuis 2012. «De 1540 Mégawatts (MW), nous allons passer à 2886 MW en 2018 et 4000 MW en 2020», a estimé le Premier ministre. Il n’a pas éludé la question de l’alternative en fourniture d’électricité que représente le Gaz naturel liquéfié (GNL). C’est pourquoi, M. Duncan a souhaité que de grandes réflexions pour les années à venir sortent du rassemblement à Abidjan de près de 300 cadres supérieurs, preneurs de décisions et leaders du secteur, provenant de pays de toute la région et de la scène internationale. «Que les Etats s’approprient les résultats de vos travaux», a aussi plaidé Daniel Kablan Duncan. Adama Toungara, ministre ivoirien du Pétrole et de l’Energie, a salué la confiance de l’UIG en la Côte d’Ivoire: «C’est en octobre 2012 que la Côte d’Ivoire a été admise à l’Union. Une année s’est écoulée après notre admission et nous sommes désignés pour l’organisation de cet important rendez-vous. C’est une fierté pour mon pays». Jérôme Ferrier, président de l’UIG, a quant à lui, souligné que son organisation rassemble l’ensemble des pays ayant une activité gazière et a indiqué que «l’objectif majeur de notre politique est de disposer d’un gaz sûr et abordable pour les populations». Il a terminé, en lançant un papel aux autres pays africains du Golfe de Guinée non membres de l’Union à les rejoindre pour participer à l’atteinte de cet objectif.
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