Les autorités ivoiriennes ont réitéré mercredi à l’ouverture à Abidjan de la 16è édition de la conférence du Golfe de Guinée (GOG 16) consacrée à l’industrie gazière, leur vœu de faire du pays un des hubs énergétiques de la sous-région.
"La Côte d’Ivoire, située en plein cœur du Golfe de guinée, dispose d’un potentiel important en matière d’hydrocarbures" a souligné le ministre ivoirien du Pétrole et de l’Energie, Adama Tounkara, ajoutant que "le défi que nous entendons relever, c’est de valoriser, au mieux, ces ressources et faire de la Côte d’Ivoire, un hub énergétique en Afrique".
Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, qui partage cette vision a fait remarquer que « la Côte d’Ivoire, au regard du développement du secteur pétrolier dans le Golfe de Guinée, a mené de grandes réflexions qui ont permis de définir les grandes orientations stratégiques de développement du secteur pour les années à venir".
Parmi ces grands projets, M. Duncan a évoqué celui intitulé, " Abidjan Rotterdam d’Afrique" qui vise à faire de la Côte d’Ivoire "un des hubs pétroliers de l’Afrique de l’Ouest". Le Premier ministre en outre rappelé que ce "projet intègre le Pipeline multi produits liquides Abidjan-Yamoussoukro devant atteindre Bouaké-Ferkessédougou et Ouagadougou".
Selon Kablan Duncan, les efforts du gouvernement visent à permettre à la Côte d’Ivoire, dont la capacité globale énergétique est actuellement autour de 1540 MW, de passer à 2886 MW en 2018 et atteindre 4000 MW à l’horizon 2020.
Plus d’une trentaine de pays participent à ces assises qui ont notamment pour objectifs d’"examiner les possibilités, les défis et les perspectives mondiales et régionales pour le commerce, le développement et la valeur ajoutée à la chaîne gazière".
Elles ambitionnent également de "sensibiliser sur les activités de valeur ajoutée pour l’exportation dans l’économie nationale" et d’"accroître la coopération afin de stimuler l’usage du gaz dans les pays en développement et ceux de la sous-région ouest-africaine en particulier".
C’est en octobre 2012 que la Côte d’Ivoire a adhéré à l’Union Internationale de l’Industrie du Gaz (UIIG), une association qui a pour vocation de rassembler tous les pays du monde concernés par l’activité gazière.
Cette conférence qui se tient de mercredi à vendredi dans la capitale économique ivoirienne est co-organisée par l’Union Internationale de l’Industrie du Gaz (UIIG) en collaboration avec le gouvernement ivoirien par le truchement du ministère du Pétrole et de l’Energie.
JBK/ls/APA
"La Côte d’Ivoire, située en plein cœur du Golfe de guinée, dispose d’un potentiel important en matière d’hydrocarbures" a souligné le ministre ivoirien du Pétrole et de l’Energie, Adama Tounkara, ajoutant que "le défi que nous entendons relever, c’est de valoriser, au mieux, ces ressources et faire de la Côte d’Ivoire, un hub énergétique en Afrique".
Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, qui partage cette vision a fait remarquer que « la Côte d’Ivoire, au regard du développement du secteur pétrolier dans le Golfe de Guinée, a mené de grandes réflexions qui ont permis de définir les grandes orientations stratégiques de développement du secteur pour les années à venir".
Parmi ces grands projets, M. Duncan a évoqué celui intitulé, " Abidjan Rotterdam d’Afrique" qui vise à faire de la Côte d’Ivoire "un des hubs pétroliers de l’Afrique de l’Ouest". Le Premier ministre en outre rappelé que ce "projet intègre le Pipeline multi produits liquides Abidjan-Yamoussoukro devant atteindre Bouaké-Ferkessédougou et Ouagadougou".
Selon Kablan Duncan, les efforts du gouvernement visent à permettre à la Côte d’Ivoire, dont la capacité globale énergétique est actuellement autour de 1540 MW, de passer à 2886 MW en 2018 et atteindre 4000 MW à l’horizon 2020.
Plus d’une trentaine de pays participent à ces assises qui ont notamment pour objectifs d’"examiner les possibilités, les défis et les perspectives mondiales et régionales pour le commerce, le développement et la valeur ajoutée à la chaîne gazière".
Elles ambitionnent également de "sensibiliser sur les activités de valeur ajoutée pour l’exportation dans l’économie nationale" et d’"accroître la coopération afin de stimuler l’usage du gaz dans les pays en développement et ceux de la sous-région ouest-africaine en particulier".
C’est en octobre 2012 que la Côte d’Ivoire a adhéré à l’Union Internationale de l’Industrie du Gaz (UIIG), une association qui a pour vocation de rassembler tous les pays du monde concernés par l’activité gazière.
Cette conférence qui se tient de mercredi à vendredi dans la capitale économique ivoirienne est co-organisée par l’Union Internationale de l’Industrie du Gaz (UIIG) en collaboration avec le gouvernement ivoirien par le truchement du ministère du Pétrole et de l’Energie.
JBK/ls/APA