Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les Lions du Sénégal et les Eléphants de Côte d’Ivoire croiseront le fer, samedi, au stade Mohamed V de Casablanca au Maroc, dans le cadre de la manche retour des barrages qualificatifs pour le mondial 2014, prévu au Brésil.
Ce match à double enjeu dégage, déjà, des étincelles. Lions et Eléphants vont se mesurer sur un terrain neutre pour une place au banquet planétaire du football, au Brésil en 2014.
Le stade Léopold Sédar Senghor de Dakar qui devrait accueillir ce match retour, étant sous le coup d’une suspension, la rencontre a été délocalisée au Maroc où sont arrivées, d’ailleurs, les deux équipes depuis lundi, pour parfaire leur préparation.
Un derby ouest-africain pour lequel chaque formation se sent interpellée par les enjeux. Les Sénégalais qui reçoivent ont, d’abord à cœur, d’effacer l’affront subi face aux Eléphants en éliminatoires de la Can 2013 pour se réconcilier avec leur public. Ensuite, Moussa Sow et autres Papiss Cissé sont déterminés à offrir à leur pays, une seconde participation à la coupe du monde de football.
En 2002, pour la Coupe du monde co-organisée en Corée du Sud et au Japon, le Sénégal des Henri Camara, El Hadj Diouf, Oumar Diao, Papa Bouba Diop… avaient fait sensation en sortant deuxième du groupe A derrière le Danemark et devant l’Uruguay et la France pour se hisser au deuxième tour.
Ces Gaïdés, après avoir sorti la Suède en 1/8ème de finale grâce à un doublé de Henri Camara (37è et 104è) contre une réalisation de Larsson (11è), sont tombés en quart de finale, les armes à la main, face à la Turquie (0-1) par le biais du but en or inscrit par Mansiz (94è) pendant les prolongations.
La génération actuelle conduite par Papiss Cissé et Moussa Sow, veut marcher dans les pas de leurs illustres devanciers dont les performances à ce mondial là, avaient fait le tour de la planète. Le sélectionneur Alain Giresse en est conscient. C’est pourquoi, le technicien français entend aligner une équipe conquérante pour remonter l’handicap de deux buts et négocier une qualification.
Quant aux Eléphants de Côte d’Ivoire qui caracolent, depuis trois ans, en tête du classement de meilleure nation de football en Afrique, ils se doivent de justifier ce statut par une troisième participation consécutive au mondial après Allemagne 2006 et Afrique du Sud 2010.
Une dernière participation pour la génération dorée qui pourrait, aussi, réconcilier Drogba Didier et ses camarades avec les sportifs ivoiriens qui se soulageront avec cette qualification à défaut d’un sacre continental avant la retraite d’une grande majorité des Eléphants qui ont au-dessus de la trentaine.
En un mot comme en mille, le Sénégal-Côte d’Ivoire du samedi prochain au royaume chérifien promet des étincelles. La Fédération ivoirienne de football (Fif), engageant la bataille psychologique, a promis la somme de 9 millions Fcfa à chacun des 24 pachydermes, présents au Maroc, en cas de qualification.
Ce match à double enjeu dégage, déjà, des étincelles. Lions et Eléphants vont se mesurer sur un terrain neutre pour une place au banquet planétaire du football, au Brésil en 2014.
Le stade Léopold Sédar Senghor de Dakar qui devrait accueillir ce match retour, étant sous le coup d’une suspension, la rencontre a été délocalisée au Maroc où sont arrivées, d’ailleurs, les deux équipes depuis lundi, pour parfaire leur préparation.
Un derby ouest-africain pour lequel chaque formation se sent interpellée par les enjeux. Les Sénégalais qui reçoivent ont, d’abord à cœur, d’effacer l’affront subi face aux Eléphants en éliminatoires de la Can 2013 pour se réconcilier avec leur public. Ensuite, Moussa Sow et autres Papiss Cissé sont déterminés à offrir à leur pays, une seconde participation à la coupe du monde de football.
En 2002, pour la Coupe du monde co-organisée en Corée du Sud et au Japon, le Sénégal des Henri Camara, El Hadj Diouf, Oumar Diao, Papa Bouba Diop… avaient fait sensation en sortant deuxième du groupe A derrière le Danemark et devant l’Uruguay et la France pour se hisser au deuxième tour.
Ces Gaïdés, après avoir sorti la Suède en 1/8ème de finale grâce à un doublé de Henri Camara (37è et 104è) contre une réalisation de Larsson (11è), sont tombés en quart de finale, les armes à la main, face à la Turquie (0-1) par le biais du but en or inscrit par Mansiz (94è) pendant les prolongations.
La génération actuelle conduite par Papiss Cissé et Moussa Sow, veut marcher dans les pas de leurs illustres devanciers dont les performances à ce mondial là, avaient fait le tour de la planète. Le sélectionneur Alain Giresse en est conscient. C’est pourquoi, le technicien français entend aligner une équipe conquérante pour remonter l’handicap de deux buts et négocier une qualification.
Quant aux Eléphants de Côte d’Ivoire qui caracolent, depuis trois ans, en tête du classement de meilleure nation de football en Afrique, ils se doivent de justifier ce statut par une troisième participation consécutive au mondial après Allemagne 2006 et Afrique du Sud 2010.
Une dernière participation pour la génération dorée qui pourrait, aussi, réconcilier Drogba Didier et ses camarades avec les sportifs ivoiriens qui se soulageront avec cette qualification à défaut d’un sacre continental avant la retraite d’une grande majorité des Eléphants qui ont au-dessus de la trentaine.
En un mot comme en mille, le Sénégal-Côte d’Ivoire du samedi prochain au royaume chérifien promet des étincelles. La Fédération ivoirienne de football (Fif), engageant la bataille psychologique, a promis la somme de 9 millions Fcfa à chacun des 24 pachydermes, présents au Maroc, en cas de qualification.