En Côte d’Ivoire, environ 50 000 patients, dans la tranche d’âge 20-79 ans, sont effectivement suivis dans les structures sanitaires publiques, pour un taux de prévalence de 4,2% et plus de 400 000 diabétiques potentiels doivent être dépistés du diabète de type2, qui est le plus fréquent, a appris APA, jeudi, de source officielle à l’occasion de la journée mondiale du diabète.
« Cette journée constitue une opportunité de sensibilisation organisée au plan mondial de nos populations sur les problèmes engendrés par le diabète sucré et pour répondre aux craintes suscitées par l’augmentation constante des cas dans toutes les contrées », a déclaré la ministre de la santé et de la lutte contre le Sida, Dr Raymonde Goudou Coffie.
Pour une prise en charge efficace de la maladie, le gouvernement a opté pour une politique de décentralisation par l’ouverture de centres de prise en charge des malades du diabète dans les Centres Hospitaliers de Korhogo (Nord) , Bouaké (Centre-Nord), Yamoussoukro (Centre), Daloa (Centre-Ouest), Gagnoa (Centre-Ouest), San-Pedro (Sud-Ouest) , Abengourou (Est), Aboisso (Sud-Est), Dabou (Sud-Ouest).
« Des espaces de diabétologie ont été également ouverts au CHU de Treichville, à la Formation Sanitaire de Cocody et dans les Hôpitaux Généraux de Bonoua et de Port-Bouët », a-t-elle dit à la faveur de la cérémonie officielle de cette journée mondiale qui s’est déroulée à Agboville (Nord-Est).
Selon Dr Raymonde Goudou Coffie, le gouvernement a aussi procédé à la formation de plus de 150 médecins généralistes à la prise en charge correcte du diabète de type2 et 300 sur l’insulinothérapie chez le diabétique.
Les prévisions les plus pessimistes de la fédération internationale du diabète estimaient en 2003, à 300 millions, le nombre de patients à l’horizon 2025. Cette estimation est largement dépassée car en novembre 2013, ce sont au moins 343 millions de cas qui ont été recensés dans le monde.
LS/hs/APA
« Cette journée constitue une opportunité de sensibilisation organisée au plan mondial de nos populations sur les problèmes engendrés par le diabète sucré et pour répondre aux craintes suscitées par l’augmentation constante des cas dans toutes les contrées », a déclaré la ministre de la santé et de la lutte contre le Sida, Dr Raymonde Goudou Coffie.
Pour une prise en charge efficace de la maladie, le gouvernement a opté pour une politique de décentralisation par l’ouverture de centres de prise en charge des malades du diabète dans les Centres Hospitaliers de Korhogo (Nord) , Bouaké (Centre-Nord), Yamoussoukro (Centre), Daloa (Centre-Ouest), Gagnoa (Centre-Ouest), San-Pedro (Sud-Ouest) , Abengourou (Est), Aboisso (Sud-Est), Dabou (Sud-Ouest).
« Des espaces de diabétologie ont été également ouverts au CHU de Treichville, à la Formation Sanitaire de Cocody et dans les Hôpitaux Généraux de Bonoua et de Port-Bouët », a-t-elle dit à la faveur de la cérémonie officielle de cette journée mondiale qui s’est déroulée à Agboville (Nord-Est).
Selon Dr Raymonde Goudou Coffie, le gouvernement a aussi procédé à la formation de plus de 150 médecins généralistes à la prise en charge correcte du diabète de type2 et 300 sur l’insulinothérapie chez le diabétique.
Les prévisions les plus pessimistes de la fédération internationale du diabète estimaient en 2003, à 300 millions, le nombre de patients à l’horizon 2025. Cette estimation est largement dépassée car en novembre 2013, ce sont au moins 343 millions de cas qui ont été recensés dans le monde.
LS/hs/APA