San Pedro – La célébration de la journée nationale de la paix a été marquée à San Pedro par des manifestations de la section locale de la Fédération pour la paix universelle au cours desquelles les femmes ont été mises à l’honneur en tant qu’actrices de paix et de développement.
Le président de la section San Pedro de la Fédération pour la paix universelle, Seydou Camara, a rappelé, lors de cette célébration vendredi, que les femmes et les enfants sont généralement les grandes victimes dans les conflits armés. Une fatalité qui n’a pas échappés, a-t-il noté, au conflit ivoirien.
Selon Seydou Camara, après l’éclatement du conflit armé en septembre 2002, les femmes en Côte d’Ivoire, se sont invitées en toute responsabilité à toutes les négociations.
Les femmes du vivier pendant la crise, a-t-il souligné, se sont investies pour «assurer la sécurité alimentaire en ravitaillant les marchés au risque de leur vie », de la même manière que pour réclamer la fin du bicéphalisme à la tête de l’Etat, lors de la crise postélectorale, les mêmes femmes ivoiriennes ont à nouveau risqué leur vie en sortant manifester.
«Cela démontre que les femmes sont de véritables actrices de paix et actrices du développement », a conclu Seydou Camara.
Vingt et une femmes de San Pedro, connues pour les actions en faveur de la paix dans la région, ont été distinguées ambassadrices de paix et mise en mission de paix. A leurs côtés 15 hommes ont été également distingués ambassadeurs de paix.
L’expert en éducation du caractère, Gnénéfé Yodé Patrice, a enseigné aux nouveaux promus les cinq principes universels de paix, dont le premier est la reconnaissance par l’Humanité d’un même « parent créateur, Dieu ».
Cela a pour conséquence, selon l’exposant, que « tous les Hommes doivent prendre conscience d’être des frères », de quelques pays, continents ou races ou religions auxquels ils appartiennent. De cette prise de conscience réside la paix universelle, a insisté Gnénéfé Patrice.
La présidente de la fédération des femmes pour la paix mondiale, section Côte d’Ivoire, Dégué Aka Agathe, a rappelé aux nouveaux ambassadeurs de paix que la famille dont la femme est un pilier central d’unité et de stabilité constitue le premier noyau social de l’Humanité sur lequel il faut agir pour la paix dans les nations et le monde.
(Aip)
jmk/tm
Le président de la section San Pedro de la Fédération pour la paix universelle, Seydou Camara, a rappelé, lors de cette célébration vendredi, que les femmes et les enfants sont généralement les grandes victimes dans les conflits armés. Une fatalité qui n’a pas échappés, a-t-il noté, au conflit ivoirien.
Selon Seydou Camara, après l’éclatement du conflit armé en septembre 2002, les femmes en Côte d’Ivoire, se sont invitées en toute responsabilité à toutes les négociations.
Les femmes du vivier pendant la crise, a-t-il souligné, se sont investies pour «assurer la sécurité alimentaire en ravitaillant les marchés au risque de leur vie », de la même manière que pour réclamer la fin du bicéphalisme à la tête de l’Etat, lors de la crise postélectorale, les mêmes femmes ivoiriennes ont à nouveau risqué leur vie en sortant manifester.
«Cela démontre que les femmes sont de véritables actrices de paix et actrices du développement », a conclu Seydou Camara.
Vingt et une femmes de San Pedro, connues pour les actions en faveur de la paix dans la région, ont été distinguées ambassadrices de paix et mise en mission de paix. A leurs côtés 15 hommes ont été également distingués ambassadeurs de paix.
L’expert en éducation du caractère, Gnénéfé Yodé Patrice, a enseigné aux nouveaux promus les cinq principes universels de paix, dont le premier est la reconnaissance par l’Humanité d’un même « parent créateur, Dieu ».
Cela a pour conséquence, selon l’exposant, que « tous les Hommes doivent prendre conscience d’être des frères », de quelques pays, continents ou races ou religions auxquels ils appartiennent. De cette prise de conscience réside la paix universelle, a insisté Gnénéfé Patrice.
La présidente de la fédération des femmes pour la paix mondiale, section Côte d’Ivoire, Dégué Aka Agathe, a rappelé aux nouveaux ambassadeurs de paix que la famille dont la femme est un pilier central d’unité et de stabilité constitue le premier noyau social de l’Humanité sur lequel il faut agir pour la paix dans les nations et le monde.
(Aip)
jmk/tm
