Le samedi 16 novembre dernier, les Eléphants de Côte d’Ivoire, sous la houlette de Sabri Lamouchi, ont obtenu leur qualification pour le mondial 2014, face aux Lions du Sénégal, depuis le stade Mohamed V de Casablanca (Maroc).
Après cette qualification acquise dans un match où le onze national ivoirien n’a eu son salut qu’au seul sort, nombreux sont les observateurs qui s’inquiètent déjà pour les Eléphants sur la route de Rio (Brésil). Et la question la plus récurrente est : Sabri Lamouchi a-t-il la carrure nécessaire pour entrainer les Eléphants ? Depuis mai 2012, date à laquelle le Franco tunisien eût succédé à François Zahui, finaliste malheureux avec les Orange à la Can 2012 (Gabon-Guinée equato), cet entraineur novice ne fait qu’entretenir la frayeur autour de l’équipe nationale. Toujours gagner sans convaincre. Pour certains, Lamouchi pèche par inexpérience, pour d’autres, il n’a aucunement un plan de base et mise sur les grosses individualités dont regorge en ce moment l’équipe fanion.
Sans doute, une façon pour lui de ruser avec les Ivoiriens qui le payent pourtant cher. Avec un salaire mensuel estimé à 60.000 euros soit 40 millions de francs Cfa contre 3 millions pour son prédécesseur, selon nos sources, l’ancien joueur de l’équipe de France n’a, jusque-là, pas encore fait montre de ses qualités d’entraineur professionnel si ce n’est pas se confondre aux spectateurs dans les stades.
Au moment où toutes les sélections qualifiées pour le mondial 2014 vont s’imposer des réglages tous azimuts, que la Fédération ivoirienne, de grâce, ne se fasse pas prier pour remercier la recrue de Sidy Diallo. Le messie des bancs, annoncé à coup de trompette, sortirait la tête haute s’il déjoue tous les pronostics qui attendent en vain son limogeage et sa démission personnelle. Déjà dans les rues d’Abidjan, des voix s’élèvent pour une pétition contre le maintien de Sabri Lamouci. A bon entendeur, salut.
Dieusmonde TADE
Après cette qualification acquise dans un match où le onze national ivoirien n’a eu son salut qu’au seul sort, nombreux sont les observateurs qui s’inquiètent déjà pour les Eléphants sur la route de Rio (Brésil). Et la question la plus récurrente est : Sabri Lamouchi a-t-il la carrure nécessaire pour entrainer les Eléphants ? Depuis mai 2012, date à laquelle le Franco tunisien eût succédé à François Zahui, finaliste malheureux avec les Orange à la Can 2012 (Gabon-Guinée equato), cet entraineur novice ne fait qu’entretenir la frayeur autour de l’équipe nationale. Toujours gagner sans convaincre. Pour certains, Lamouchi pèche par inexpérience, pour d’autres, il n’a aucunement un plan de base et mise sur les grosses individualités dont regorge en ce moment l’équipe fanion.
Sans doute, une façon pour lui de ruser avec les Ivoiriens qui le payent pourtant cher. Avec un salaire mensuel estimé à 60.000 euros soit 40 millions de francs Cfa contre 3 millions pour son prédécesseur, selon nos sources, l’ancien joueur de l’équipe de France n’a, jusque-là, pas encore fait montre de ses qualités d’entraineur professionnel si ce n’est pas se confondre aux spectateurs dans les stades.
Au moment où toutes les sélections qualifiées pour le mondial 2014 vont s’imposer des réglages tous azimuts, que la Fédération ivoirienne, de grâce, ne se fasse pas prier pour remercier la recrue de Sidy Diallo. Le messie des bancs, annoncé à coup de trompette, sortirait la tête haute s’il déjoue tous les pronostics qui attendent en vain son limogeage et sa démission personnelle. Déjà dans les rues d’Abidjan, des voix s’élèvent pour une pétition contre le maintien de Sabri Lamouci. A bon entendeur, salut.
Dieusmonde TADE