Depuis le samedi 16 novembre, la Côte d’Ivoire a obtenu le droit de disputer la prochaine phase finale de la Coupe du monde de football qui se déroulera au Brésil. Après la joie de la qualification, l’heure est à juste titre aux interrogations au regard de l’importance de la compétition et surtout de ses exigences. Avec quel sélectionneur la Côte d’Ivoire ira- t- elle au pays du roi Pélé et quels Eléphants défendront les couleurs ivoiriennes ?
Certains parlent de la nécessité de changement radical à la tête de l’encadrement technique des Eléphants quand d’autres soutiennent qu’il faut plutôt un renforcement de celui-ci pour permettre à Sabri Lamouchi de mener à bien sa mission. Quelle est la meilleure formule? Il y aura forcément débat sur cette question essentielle avant le Mondial. Dans l’intérêt général, il faudra que les décideurs fassent preuve de justesse dans l’appréciation des différents arguments afin de trancher de la meilleure façon. S’agissant des joueurs, des langues soutiennent qu’ils sont «vieux». C’est le point de vue du portier et capitaine sénégalais Bouna Coundoul. « Sans faire injure à la Côte d’Ivoire, il faut dire que les Eléphants sont vieux ». D’aucuns battent en brèche cette assertion et indiquent qu’il faut des joueurs expérimentés pour prendre part à ce genre d’épreuve qui rassemble les meilleurs footballeurs de la planète du moment. Un troisième groupe d’observateurs pensent au contraire qu’il faut un savant dosage d’anciens et de nouveaux joueurs talentueux pour faire face à toute adversité avec les meilleurs arguments possibles. Cependant, la cure de jouvence espérée doit l’être dans des proportions raisonnables et ne doit souffrir d’aucune contestation. En clair, seuls les vrais meilleurs jeunes devront être retenus pour cette aventure et non pour les aventuriers. Là encore, les responsables fédéraux devront être particulièrement vigilants pour ne pas se laisser abuser. Il faut que prime l’intérêt de tous et non celui d’un clan. Le choix des hommes, c’est maintenant que la Fédération ivoirienne de football doit y penser très sérieusement.
Roger Okou Vabé,
envoyé spécial à Casablanca (Maroc)
Certains parlent de la nécessité de changement radical à la tête de l’encadrement technique des Eléphants quand d’autres soutiennent qu’il faut plutôt un renforcement de celui-ci pour permettre à Sabri Lamouchi de mener à bien sa mission. Quelle est la meilleure formule? Il y aura forcément débat sur cette question essentielle avant le Mondial. Dans l’intérêt général, il faudra que les décideurs fassent preuve de justesse dans l’appréciation des différents arguments afin de trancher de la meilleure façon. S’agissant des joueurs, des langues soutiennent qu’ils sont «vieux». C’est le point de vue du portier et capitaine sénégalais Bouna Coundoul. « Sans faire injure à la Côte d’Ivoire, il faut dire que les Eléphants sont vieux ». D’aucuns battent en brèche cette assertion et indiquent qu’il faut des joueurs expérimentés pour prendre part à ce genre d’épreuve qui rassemble les meilleurs footballeurs de la planète du moment. Un troisième groupe d’observateurs pensent au contraire qu’il faut un savant dosage d’anciens et de nouveaux joueurs talentueux pour faire face à toute adversité avec les meilleurs arguments possibles. Cependant, la cure de jouvence espérée doit l’être dans des proportions raisonnables et ne doit souffrir d’aucune contestation. En clair, seuls les vrais meilleurs jeunes devront être retenus pour cette aventure et non pour les aventuriers. Là encore, les responsables fédéraux devront être particulièrement vigilants pour ne pas se laisser abuser. Il faut que prime l’intérêt de tous et non celui d’un clan. Le choix des hommes, c’est maintenant que la Fédération ivoirienne de football doit y penser très sérieusement.
Roger Okou Vabé,
envoyé spécial à Casablanca (Maroc)