ABIDJAN - Cinq militaires ivoiriens pro-Gbagbo réfugiés au Togo après la meurtrière crise post-électorale de 2010-2011 sont rentrés d'exil, annonce samedi le ministère ivoirien de la Défense.
Dans un communiqué transmis à Xinhua, le ministère ivoirien de la Défense informe que "sont revenus d'exil le vendredi 22 novembre, cinq militaires" proches de l'ancien régime.
"Les militaires exilés ont regagné la Côte d'Ivoire en compagnie de l'ambassadeur en poste au Togo," indique le communiqu é qui ajoute que les familles des militaires sont rentrées sur le territoire ivoirien "par la route accompagnées par le HCR".
Mardi, le gouvernement a appelé, une nouvelle fois, les militaires, gendarmes et policiers en exil à rentrer au pays "au plus tard le 30 novembre" pour ne pas être radiés des effectifs de leurs corps respectifs.
"Passé ce délai, la désertion sera constaté et les mesures qui conviennent seront appliquées, à savoir la radiation des effectifs de l'armée, de la gendarmerie, de la police, des forces militaires et paramilitaires", a prévenu le gouvernement sans préciser le nombre de "corps habillés" encore en exil.
Au moins 250.000 Ivoiriens avaient fui leur pays pour se ré fugier dans les pays limitrophes au plus fort de la crise post-é lectorale qui a fait 3.000 morts dans le pays suite au refus de Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire d'Alassane Ouattara à l' élection présidentielle de novembre 2010.
Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'Onu à Abidjan, près de 200.000 Ivoiriens, des civils, sont rentrés d'exil.
Dans un communiqué transmis à Xinhua, le ministère ivoirien de la Défense informe que "sont revenus d'exil le vendredi 22 novembre, cinq militaires" proches de l'ancien régime.
"Les militaires exilés ont regagné la Côte d'Ivoire en compagnie de l'ambassadeur en poste au Togo," indique le communiqu é qui ajoute que les familles des militaires sont rentrées sur le territoire ivoirien "par la route accompagnées par le HCR".
Mardi, le gouvernement a appelé, une nouvelle fois, les militaires, gendarmes et policiers en exil à rentrer au pays "au plus tard le 30 novembre" pour ne pas être radiés des effectifs de leurs corps respectifs.
"Passé ce délai, la désertion sera constaté et les mesures qui conviennent seront appliquées, à savoir la radiation des effectifs de l'armée, de la gendarmerie, de la police, des forces militaires et paramilitaires", a prévenu le gouvernement sans préciser le nombre de "corps habillés" encore en exil.
Au moins 250.000 Ivoiriens avaient fui leur pays pour se ré fugier dans les pays limitrophes au plus fort de la crise post-é lectorale qui a fait 3.000 morts dans le pays suite au refus de Laurent Gbagbo de reconnaître la victoire d'Alassane Ouattara à l' élection présidentielle de novembre 2010.
Selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'Onu à Abidjan, près de 200.000 Ivoiriens, des civils, sont rentrés d'exil.