ABIDJAN, Le secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo), Laurent Akoun, interpellé samedi à Abidjan alors qu’il tentait d’embarquer pour la France, est interdit de sortir du pays jusqu’au 28 février 2014 suite à une décision de justice.
Dans un communiqué parvenu à Xinhua dimanche, le gouvernement rappelle que "Laurent Akoun est interdit de sortie du 28 février 2013 au 28 février 2014, suite à sa condamnation du 31 août 2012".
Libéré le 28 février, Laurent Akoun avait écopé de six mois de prison ferme, un an de privation de droits civiques et un an d’ interdiction de paraître sur l’ensemble du territoire sauf dans son village natal, Memni, dans le département d’Alépé (sud).
Il avait été arrêté le 26 août 2012 à Adzopé (sud, 80 km au nord d’Abidjan) après une réunion de son parti et reconnu coupable de "trouble à l’ordre public" par le tribunal de 1ère instance d’ Abidjan avant une confirmation du verdict en appel.
Samedi, il a été interpellé et détenu plusieurs heures à la Direction de la surveillance du territoire (DST) avant d’être relâché sans son passeport alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour Paris avec sa famille.
Le gouvernement exige au secrétaire général et porte-parole du FPI, Laurent Akoun, de "n’apparaître que dans son lieu d’origine au risque d’être poursuivi pour non-respect d’une décision de justice".
Le FPI a qualifié sa brève interpellation "d’arrestation arbitraire" et de "harcèlement politique".
Dans un communiqué parvenu à Xinhua dimanche, le gouvernement rappelle que "Laurent Akoun est interdit de sortie du 28 février 2013 au 28 février 2014, suite à sa condamnation du 31 août 2012".
Libéré le 28 février, Laurent Akoun avait écopé de six mois de prison ferme, un an de privation de droits civiques et un an d’ interdiction de paraître sur l’ensemble du territoire sauf dans son village natal, Memni, dans le département d’Alépé (sud).
Il avait été arrêté le 26 août 2012 à Adzopé (sud, 80 km au nord d’Abidjan) après une réunion de son parti et reconnu coupable de "trouble à l’ordre public" par le tribunal de 1ère instance d’ Abidjan avant une confirmation du verdict en appel.
Samedi, il a été interpellé et détenu plusieurs heures à la Direction de la surveillance du territoire (DST) avant d’être relâché sans son passeport alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour Paris avec sa famille.
Le gouvernement exige au secrétaire général et porte-parole du FPI, Laurent Akoun, de "n’apparaître que dans son lieu d’origine au risque d’être poursuivi pour non-respect d’une décision de justice".
Le FPI a qualifié sa brève interpellation "d’arrestation arbitraire" et de "harcèlement politique".
