Les lampions se sont éteint le samedi 30 novembre dernier sur la Coupe du monde de taekwondo 2013, en Côte d’Ivoire. A l’issue de cette compétition qui a vu la participation des pays comme la Corée, la Chine , la Russie, la France, le Mali, l’Espagne, les Etats-Unis, le Brésil , le Sénégal, le Mexique , le Nigeria, le Burkina Faso et bien entendu le pays hôte, la Côte d’Ivoire, on peut dire que le comité d’organisation, avec à sa tête Bamba Cheick Daniel, président de la fédération ivoirienne de Taekwondo (Fitkd), a bien accompli sa mission. En effet, sur le plan sécuritaire, il n’y a rien à redire, aucun incident majeur n’a été coinstaté durant la compétition, Sur le plan organisationnel, si l’affluence n’a pas atteint celle de la 8ème édition de la Coupe du monde francophone 2012 sur les bords de la lagune Ebrié, les organisateurs peuvent bénéficier d’une circonstance atténuante étant donné que les deux premières journées ont eu lieu à des jours ouvrables. En revanche, le samedi, jour de l’apothèose, le public a répondu présent. En effet, personne ne voulait se faire compter cet evènement inédit, la première du genre qui s’est déroulée en Côte d’Ivoire. Et la cerise sur le gâteau, les résultats sportifs ont suivi, comme pour corroborer cet adage qui dit que « la fortune sourit aux audacieux ». En tout cas, les Eléphants taekwondoins (Hommes et Dames) ont honoré tout le peuple de Côte d’Ivoire en lui offrant un titre de vice-champion acquis face au Mexique, champion du monde et une médaille de bronze pour les femmes. Au total, on peut féliciter le comité d’organisation qui, on peut le dire, a fait un grand travail lors de la Coupe du monde de taekwondo 2013, à Abidjan en Côte d’Ivoire.
Affia Marie
Affia Marie