La société d’exploration aurifère, Endeavour Mining annonce la coulée de son premier lingot d’or produit à partir des circuits de lixiviation au charbon (CIL) et de concentration gravimétrique de l’usine de traitement de la Mine d’Agbaou (Côte d’Ivoire), ce, en avance sur le planning arrêté.
Cette première coulée, réalisée le 29 novembre, devance l’objectif du calendrier originel de construction et de mise en service qui avait été fixé au premier trimestre 2014, rapporte un communiqué de presse de l’entreprise publié mardi.
Le texte note que la mise en service de l’usine se poursuit, toujours en avance sur le planning. Les niveaux de capacité nominale de l’usine, tels que prévus lors de sa conception, ont été progressivement atteints et il est envisagé que l’usine aboutisse à la pleine production commerciale aurifère au premier trimestre de l’année 2014.
La mine d’Agbaou est exploitée par la société Agbaou Gold Operations SA qui est détenue à hauteur de 85% par Endeavour Mining Corporation, 10% par l’Etat de Côte d’Ivoire et 5% par la Société pour le Développement Minier de la Côte d’Ivoire (SODEMI).
Le communiqué souligne aussi que la mise en service des infrastructures progresse rapidement. En effet, les installations de soutirage du minerai, broyage, concentration gravimétrique (Knelson) et lixiviation intense des concentré (Gekko), lixiviation au charbon (CIL), détoxication du cyanure des rejets, de même que la digue à stériles sont opérationnelles.
La mine d’Agbaou entrera en phase de production commerciale au cours du premier trimestre de 2014, selon l’échéancier fixé, et produira annuellement 100,000 onces, soit environ trois tonnes d’or en moyenne.
« Ceci représente un résultat capital pour la société Endeavour et nos partenaires dans la société Agbaou Gold Opérations SA. Cette réalisation témoigne du travail remarquable de nos employés dans tous les domaines depuis et ce depuis l’exploration jusqu’aux opérations », se réjouit Neil Woodyer, PDG de Endeavour Mining Corporation, cité par le communiqué de presse. Il a ajouté que l’équipe Projet Agbaou a su, à partir d’une étude de faisabilité et sur un site vierge de toute infrastructure, construire la mine d’Agbaou en seulement 16 mois.
Endeavour a investi 160 millions de dollars US (environ 80 milliards de FCFA) pour construire la mine d’or d’Agbaou. Les dépenses d’opérations à venir seront de 75 millions de dollars US annuellement, soit près de 37 milliards de FCFA. Les coûts d’investissement initial comprennent le financement et la construction d’une ligne électrique haute tension (91kV) de 15 km de long qui sera la propriété de l’Etat de Côte d’Ivoire et pourra alimenter les communautés de la région en électricité.
La mine d’Agbaou sera la quatrième mine d’or en exploitation en Côte d’Ivoire et augmentera la production aurifère annuelle du pays de plus de 20%. Elle apportera de nombreux autres revenus au pays à travers les charges salariales, les achats réalisés en Côte d’Ivoire, le paiement de dividendes, les taxes, les royalties et autres droits miniers versés à l’Etat.
Le projet permet la création de 700 emplois directs de longue durée et apporte des bénéfices socio-économiques aux communautés locales et régionales, précise le texte qui annonce des actions et infrastructures sociocommunautaires au profit des communautés riveraines.
cmas
Cette première coulée, réalisée le 29 novembre, devance l’objectif du calendrier originel de construction et de mise en service qui avait été fixé au premier trimestre 2014, rapporte un communiqué de presse de l’entreprise publié mardi.
Le texte note que la mise en service de l’usine se poursuit, toujours en avance sur le planning. Les niveaux de capacité nominale de l’usine, tels que prévus lors de sa conception, ont été progressivement atteints et il est envisagé que l’usine aboutisse à la pleine production commerciale aurifère au premier trimestre de l’année 2014.
La mine d’Agbaou est exploitée par la société Agbaou Gold Operations SA qui est détenue à hauteur de 85% par Endeavour Mining Corporation, 10% par l’Etat de Côte d’Ivoire et 5% par la Société pour le Développement Minier de la Côte d’Ivoire (SODEMI).
Le communiqué souligne aussi que la mise en service des infrastructures progresse rapidement. En effet, les installations de soutirage du minerai, broyage, concentration gravimétrique (Knelson) et lixiviation intense des concentré (Gekko), lixiviation au charbon (CIL), détoxication du cyanure des rejets, de même que la digue à stériles sont opérationnelles.
La mine d’Agbaou entrera en phase de production commerciale au cours du premier trimestre de 2014, selon l’échéancier fixé, et produira annuellement 100,000 onces, soit environ trois tonnes d’or en moyenne.
« Ceci représente un résultat capital pour la société Endeavour et nos partenaires dans la société Agbaou Gold Opérations SA. Cette réalisation témoigne du travail remarquable de nos employés dans tous les domaines depuis et ce depuis l’exploration jusqu’aux opérations », se réjouit Neil Woodyer, PDG de Endeavour Mining Corporation, cité par le communiqué de presse. Il a ajouté que l’équipe Projet Agbaou a su, à partir d’une étude de faisabilité et sur un site vierge de toute infrastructure, construire la mine d’Agbaou en seulement 16 mois.
Endeavour a investi 160 millions de dollars US (environ 80 milliards de FCFA) pour construire la mine d’or d’Agbaou. Les dépenses d’opérations à venir seront de 75 millions de dollars US annuellement, soit près de 37 milliards de FCFA. Les coûts d’investissement initial comprennent le financement et la construction d’une ligne électrique haute tension (91kV) de 15 km de long qui sera la propriété de l’Etat de Côte d’Ivoire et pourra alimenter les communautés de la région en électricité.
La mine d’Agbaou sera la quatrième mine d’or en exploitation en Côte d’Ivoire et augmentera la production aurifère annuelle du pays de plus de 20%. Elle apportera de nombreux autres revenus au pays à travers les charges salariales, les achats réalisés en Côte d’Ivoire, le paiement de dividendes, les taxes, les royalties et autres droits miniers versés à l’Etat.
Le projet permet la création de 700 emplois directs de longue durée et apporte des bénéfices socio-économiques aux communautés locales et régionales, précise le texte qui annonce des actions et infrastructures sociocommunautaires au profit des communautés riveraines.
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