Le président de la fédération inter-état des syndicats des agences de voyage et de tourisme de l’Afrique de l’ouest (Fisavet/AOC), Prince Emmanuel Ngassa Happi, appelle les pouvoirs publics à soutenir et à promouvoir le tourisme, affirmant que ce secteur « génère d’énormes potentialités financières dont l’exploitation efficiente pourrait contribuer efficacement au développement des pays ».
A l’ouverture, lundi, à Abidjan du 14ème congrès ordinaire de cette fédération, en présence du premier ministre Daniel Kablan Duncan, M. Ngassa a expliqué que l’arrivée et le séjour d’environ 400.000 touristes seulement dans un pays entraine des retombées financières, économiques et sociales énormes ».
« C’est environ 200 milliards FCFA de chiffre d’affaire pour l’industrie du tourisme, 450 milliards FCFA de recette pour l’Etat et quelque 1000 emplois qui sont créés », a-t-il dit, déplorant que les nombreuses taxes qui représentent 40 à 50 % du prix définitif d’un billet d’avion "entravent le désir même du voyage".
« Nous pensons objectivement qu’au niveau de nos gouvernements, les beaux discours, les interminables réunions sans aucune suite doivent prendre fin (…) que les relations fécondes entre Hôteliers, restaurateurs et agents de voyages et du tourisme doivent être renforcées », a plaidé le président de la FISAVET.
Il s’est par ailleurs réjoui des dispositions règlementaires prises dans certains pays, sous l’impulsion de la FISAVET visant à promouvoir le tourisme, citant entre autres, l’adoption de la loi sur le tourisme en Côte d’Ivoire, la prise de texte sur la circulation des biens et des personnes par la facilitation des visas et la création d’office du tourisme.
« Nous avons apprécié à sa juste valeur, l’adoption du projet de loi portant sur le code du tourisme en Côte d’Ivoire, une excellente idée », a affirmé l’expert en tourisme.
Créée le 24 novembre 1993 à l'île de Malte, la Fisavet/AOC compte à ce jour près de 300 agences et dans les 20 pays de la sous-région, note-t-on.
Kkl/Ask
A l’ouverture, lundi, à Abidjan du 14ème congrès ordinaire de cette fédération, en présence du premier ministre Daniel Kablan Duncan, M. Ngassa a expliqué que l’arrivée et le séjour d’environ 400.000 touristes seulement dans un pays entraine des retombées financières, économiques et sociales énormes ».
« C’est environ 200 milliards FCFA de chiffre d’affaire pour l’industrie du tourisme, 450 milliards FCFA de recette pour l’Etat et quelque 1000 emplois qui sont créés », a-t-il dit, déplorant que les nombreuses taxes qui représentent 40 à 50 % du prix définitif d’un billet d’avion "entravent le désir même du voyage".
« Nous pensons objectivement qu’au niveau de nos gouvernements, les beaux discours, les interminables réunions sans aucune suite doivent prendre fin (…) que les relations fécondes entre Hôteliers, restaurateurs et agents de voyages et du tourisme doivent être renforcées », a plaidé le président de la FISAVET.
Il s’est par ailleurs réjoui des dispositions règlementaires prises dans certains pays, sous l’impulsion de la FISAVET visant à promouvoir le tourisme, citant entre autres, l’adoption de la loi sur le tourisme en Côte d’Ivoire, la prise de texte sur la circulation des biens et des personnes par la facilitation des visas et la création d’office du tourisme.
« Nous avons apprécié à sa juste valeur, l’adoption du projet de loi portant sur le code du tourisme en Côte d’Ivoire, une excellente idée », a affirmé l’expert en tourisme.
Créée le 24 novembre 1993 à l'île de Malte, la Fisavet/AOC compte à ce jour près de 300 agences et dans les 20 pays de la sous-région, note-t-on.
Kkl/Ask