Un terrain d’entente vient d’être trouvé dans le litige foncier qui opposait l’Etat de Côte d’Ivoire, représenté par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, à l’Eglise des Assemblées de Dieu située à l’opposé de l’Université FHB dans le périmètre de la brigade de gendarmerie.
En effet, grâce à la médiation de guides religieux, saisis de l’affaire, les responsables de l’Eglise des Assemblées de Dieu ont décidé de renoncer au bras de fer en se contentant finalement des clauses du règlement à l’amiable préétabli avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, à savoir le partage équitable de la parcelle à litige.
Les fidèles de l’Eglise qui ont, par la même occasion, renoncé à s’attaquer à la clôture de délimitation en construction, se sont vus autoriser l’accès du site par le Ministère.
Pour rappel, le site sur lequel se trouve l’Eglise des Assemblées de Dieu fait l’objet d’un certificat de propriété de l’Université antérieur à celui de l’Eglise qui s’avère donc illégal dans la mesure où le premier certificat n’a pas été annulé.
Dans le souci de trouver un règlement à l’amiable, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a décidé de couper la poire en deux en divisant le terrain en parts égales : 8.000 mètres carrés pour l’Eglise et 8.000 mètres carrés pour l’Université.
C’est donc contre toute attente que le dimanche, 8 décembre 2013, les responsables de l’Eglise des Assemblées de Dieu ont procédé à la destruction de la clôture en construction visant à délimiter, mais surtout, à sécuriser à la fois l’Eglise et l’Université.
Dès-lors, vu les péripéties qu’a connues ce conflit depuis plusieurs mois, l’on espère que cet accord sera, cette fois-ci, respecté.
En effet, grâce à la médiation de guides religieux, saisis de l’affaire, les responsables de l’Eglise des Assemblées de Dieu ont décidé de renoncer au bras de fer en se contentant finalement des clauses du règlement à l’amiable préétabli avec le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, à savoir le partage équitable de la parcelle à litige.
Les fidèles de l’Eglise qui ont, par la même occasion, renoncé à s’attaquer à la clôture de délimitation en construction, se sont vus autoriser l’accès du site par le Ministère.
Pour rappel, le site sur lequel se trouve l’Eglise des Assemblées de Dieu fait l’objet d’un certificat de propriété de l’Université antérieur à celui de l’Eglise qui s’avère donc illégal dans la mesure où le premier certificat n’a pas été annulé.
Dans le souci de trouver un règlement à l’amiable, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a décidé de couper la poire en deux en divisant le terrain en parts égales : 8.000 mètres carrés pour l’Eglise et 8.000 mètres carrés pour l’Université.
C’est donc contre toute attente que le dimanche, 8 décembre 2013, les responsables de l’Eglise des Assemblées de Dieu ont procédé à la destruction de la clôture en construction visant à délimiter, mais surtout, à sécuriser à la fois l’Eglise et l’Université.
Dès-lors, vu les péripéties qu’a connues ce conflit depuis plusieurs mois, l’on espère que cet accord sera, cette fois-ci, respecté.