Mamadou Sangafowa Coulibaly, ministre ivoirien de l’agriculture a encouragé, vendredi, le partenariat entre l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader) et l’Université de Tamagawa (Japon) dont le Président Yoshiaki Obara était l’invité d’Honneur de la cérémonie de clôture des festivités marquant les 20 ans d’existence de l’Anader.
Pour saluer la présence du Président de l’Université de Tamagawa aux côtés des responsables de l’Anader, le ministre Sangafowa Coulibaly a puisé dans la tradition pour citer l’adage qui dit que « les pieds ne vont pas là où le cœur n’est pas ».
« Vous avez découvert la Côte d’Ivoire en 2004, pendant une période incertaine. Vous y revenez aujourd’hui, dans un climat socio-politique apaisé, grâce aux dirigeants de l’Anader, en qualité d’invité d’Honneur à la cérémonie de clôture des activités du 20ème anniversaire de cette structure », s’est adressé M. Coulibaly à l’illustre hôte, saluant au passage, avec « déférence » cette marque de « sympathie et d’amitié ».
En sa qualité de tutelle administrative de l’Anader, Mamadou Sangafowa Coulibaly, qui dit « attacher une grande importance » à ce partenariat, a promis de faire « ce qui relève de notre compétence pour qu’il porte de bons fruits » afin d’encourager d’autres structures nationales à tisser des liens de collaboration avec des partenaires japonais dans le cadre de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD).
Créée le 29 septembre 1993 après la dissolution des 3 établissements publics ayant en charge l’encadrement agricole, notamment, la Satmaci (pour le café-cacao), la Sodepra (pour les élevages) et la Cidv (pour les cultures vivrières et horticoles), l’Anader compte 7 délégations régionales pour 57 zones de couverture sur le territoire national.
HS/ls/APA
Pour saluer la présence du Président de l’Université de Tamagawa aux côtés des responsables de l’Anader, le ministre Sangafowa Coulibaly a puisé dans la tradition pour citer l’adage qui dit que « les pieds ne vont pas là où le cœur n’est pas ».
« Vous avez découvert la Côte d’Ivoire en 2004, pendant une période incertaine. Vous y revenez aujourd’hui, dans un climat socio-politique apaisé, grâce aux dirigeants de l’Anader, en qualité d’invité d’Honneur à la cérémonie de clôture des activités du 20ème anniversaire de cette structure », s’est adressé M. Coulibaly à l’illustre hôte, saluant au passage, avec « déférence » cette marque de « sympathie et d’amitié ».
En sa qualité de tutelle administrative de l’Anader, Mamadou Sangafowa Coulibaly, qui dit « attacher une grande importance » à ce partenariat, a promis de faire « ce qui relève de notre compétence pour qu’il porte de bons fruits » afin d’encourager d’autres structures nationales à tisser des liens de collaboration avec des partenaires japonais dans le cadre de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD).
Créée le 29 septembre 1993 après la dissolution des 3 établissements publics ayant en charge l’encadrement agricole, notamment, la Satmaci (pour le café-cacao), la Sodepra (pour les élevages) et la Cidv (pour les cultures vivrières et horticoles), l’Anader compte 7 délégations régionales pour 57 zones de couverture sur le territoire national.
HS/ls/APA