Sept cent onze ex-combattants, issus des rangs des supplétifs des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) et des groupes d'autodéfense de la région du Gôh ont bénéficié à Gagnoa, Oumé et à Sinfra, d'une formation dans des corps de métier, en vue de leur réinsertion socioprofessionnelle dans un avenir proche, sous la supervision de l'Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR).
A Gagnoa, cette initiative de l'ADDR a bénéficié de l'appui de trois ONG dont l'ONG "Paix, éducation et développement" qui, sept jours durant, ont encadré 139 ex-combattants lors d'une formation qui s'est déroulée concomitamment à Oumé et à Sinfra au bénéfice de 572 éléments.
A cette occasion, les apprenants ont été instruits sur les IST/Vih-Sida, le civisme, la citoyenneté et la comptabilité simplifiée.
Selon le chargé du suivi-évaluation de projet à San Pedro, Mathieu Djédjé, chaque ex-combattant, en phase de réinsertion, va bénéficier de 800.000 FCFA qui seront déposés sur un compte ouvert dans une structure financière.
"Les ex-combattants qui n'ont pu intégrer l'armée nationale doivent se mettre en rapport avec l'ADDR, pour avoir la chance de gagner leur vie grâce à des projets générateurs de revenus, au risque de tomber sous le coup de la loi, s'ils sont appréhendés en possession d'une arme", a expliqué M. Djédjé.
Il a exhorté les jeunes ex-combattants de ces localités à se débarrasser volontairement de tout ce qui est matériel militaire, soulignant que "c'est l'opportunité que leur donne l'Etat".
Le chargé du suivi-évaluation de l'AADR a rappelé aux stagiaires que c'est la phase de volontariat où il est demandé à chaque ex-combattant de déposer son arme pour intégrer la vie civile, car à la fin de la mission de l'ADDR, l'Etat va passer à la phase répressive qui aboutira à des sanctions.
"Pendant cette phase-là, si un ex-combattant est pris avec une arme, il sera considéré comme un bandit et traité comme tel", a-t-il prévenu en substance.
Lors de sa visite d'Etat dans le Gbèkè, le président Alassane Ouattara avait appelé les ex-combattants à déposer les armes pour s'inscrire dans le programme DDR, rappelle-t-on.
Ja/kp
A Gagnoa, cette initiative de l'ADDR a bénéficié de l'appui de trois ONG dont l'ONG "Paix, éducation et développement" qui, sept jours durant, ont encadré 139 ex-combattants lors d'une formation qui s'est déroulée concomitamment à Oumé et à Sinfra au bénéfice de 572 éléments.
A cette occasion, les apprenants ont été instruits sur les IST/Vih-Sida, le civisme, la citoyenneté et la comptabilité simplifiée.
Selon le chargé du suivi-évaluation de projet à San Pedro, Mathieu Djédjé, chaque ex-combattant, en phase de réinsertion, va bénéficier de 800.000 FCFA qui seront déposés sur un compte ouvert dans une structure financière.
"Les ex-combattants qui n'ont pu intégrer l'armée nationale doivent se mettre en rapport avec l'ADDR, pour avoir la chance de gagner leur vie grâce à des projets générateurs de revenus, au risque de tomber sous le coup de la loi, s'ils sont appréhendés en possession d'une arme", a expliqué M. Djédjé.
Il a exhorté les jeunes ex-combattants de ces localités à se débarrasser volontairement de tout ce qui est matériel militaire, soulignant que "c'est l'opportunité que leur donne l'Etat".
Le chargé du suivi-évaluation de l'AADR a rappelé aux stagiaires que c'est la phase de volontariat où il est demandé à chaque ex-combattant de déposer son arme pour intégrer la vie civile, car à la fin de la mission de l'ADDR, l'Etat va passer à la phase répressive qui aboutira à des sanctions.
"Pendant cette phase-là, si un ex-combattant est pris avec une arme, il sera considéré comme un bandit et traité comme tel", a-t-il prévenu en substance.
Lors de sa visite d'Etat dans le Gbèkè, le président Alassane Ouattara avait appelé les ex-combattants à déposer les armes pour s'inscrire dans le programme DDR, rappelle-t-on.
Ja/kp