Cela ne fait l’ombre d’aucun doute. Le Front populaire ivoirien(FPI), ex- parti au pouvoir, passe pour être maître dans l’art de la division. Aujourd’hui encore, dans cette Côte d’Ivoire qui avance, le FPI s’évertue à opposer les fils de certaines régions contre ceux d’autres contrées. C’est dans cette optique que des caciques de ce regroupement politique font croire que le président Alassane Ouattara ne travaille exclusivement que pour le développement de sa région natale. Le chef de l’Etat est présenté comme un dirigeant qui est arrivé au pouvoir, pour ne servir que sa tribu. Alors qu’il n’en est rien.
Le président Ouattara travaille dans la perspective du bien-être de tous les Ivoiriens. Les nombreux projets lancés, tels que le pont de Bouaflé, le pont Henri Konan Bédié, le barrage de Soubré et certains autres chantiers déjà achevés comme l’autoroute du Nord, sont des ouvrages bâtis pour le bien-être commun. Il n’est jamais arrivé au président Ouattara d’agir dans le sens du sectarisme. Et pourtant, c’est cette image morne que le parti à la rose tente de coller au brillant et charismatique Homme d’Etat, Alassane Ouattara. Le FPI, on le voit, ne cherche qu’à diviser les fils et filles du pays. Dans une déclaration produite le week-end dernier, ce parti estime que tous les ingrédients sont réunis pour que le Recensement général de la population et de l’Habitat(RGPH) 2013, annoncé n’atteigne pas ses objectifs. Pour justifier cette thèse, le Secrétaire général et porte-parole de ce parti, Laurent Akoun, évoque certains faits relevés dans le communiqué produit. Le premier élément évoqué, concerne l’invasion du grand Ouest et du Sud par les FRCI et leurs supplétifs Dozos qui auraient provoqué des déplacements massifs de populations à l’intérieur et à l’extérieur. A ce sujet, fait-il remarquer, les organisations internationales ont dénombré plus d’un million de personnes. Des dizaines de milliers de ceux-ci vivent selon lui, toujours hors du pays. Le second argument évoqué, est une situation d’insécurité généralisée marquée par la crise de confiance et la traque qui serait orchestrée contre les pro-Gbagbo. La situation que dépeint ainsi le Secrétaire général et porte-parole du parti à la rose n’a rien à avoir avec la réalité actuelle. Les faits contés sont dépassés. La situation décrite concerne la période après le 11 avril 2011, où le pays venait juste de sortir du grand malaise électoral qu’il avait vécu. Il s’agit donc d’une période révolue. La Côte d’Ivoire n’est plus en guerre. Et ces propos dépassés laissent entrevoir le fait que la stabilité acquise gêne énormément le parti dirigé actuellement par Affi N’guessan.
COULIBALY Zoumana
Le président Ouattara travaille dans la perspective du bien-être de tous les Ivoiriens. Les nombreux projets lancés, tels que le pont de Bouaflé, le pont Henri Konan Bédié, le barrage de Soubré et certains autres chantiers déjà achevés comme l’autoroute du Nord, sont des ouvrages bâtis pour le bien-être commun. Il n’est jamais arrivé au président Ouattara d’agir dans le sens du sectarisme. Et pourtant, c’est cette image morne que le parti à la rose tente de coller au brillant et charismatique Homme d’Etat, Alassane Ouattara. Le FPI, on le voit, ne cherche qu’à diviser les fils et filles du pays. Dans une déclaration produite le week-end dernier, ce parti estime que tous les ingrédients sont réunis pour que le Recensement général de la population et de l’Habitat(RGPH) 2013, annoncé n’atteigne pas ses objectifs. Pour justifier cette thèse, le Secrétaire général et porte-parole de ce parti, Laurent Akoun, évoque certains faits relevés dans le communiqué produit. Le premier élément évoqué, concerne l’invasion du grand Ouest et du Sud par les FRCI et leurs supplétifs Dozos qui auraient provoqué des déplacements massifs de populations à l’intérieur et à l’extérieur. A ce sujet, fait-il remarquer, les organisations internationales ont dénombré plus d’un million de personnes. Des dizaines de milliers de ceux-ci vivent selon lui, toujours hors du pays. Le second argument évoqué, est une situation d’insécurité généralisée marquée par la crise de confiance et la traque qui serait orchestrée contre les pro-Gbagbo. La situation que dépeint ainsi le Secrétaire général et porte-parole du parti à la rose n’a rien à avoir avec la réalité actuelle. Les faits contés sont dépassés. La situation décrite concerne la période après le 11 avril 2011, où le pays venait juste de sortir du grand malaise électoral qu’il avait vécu. Il s’agit donc d’une période révolue. La Côte d’Ivoire n’est plus en guerre. Et ces propos dépassés laissent entrevoir le fait que la stabilité acquise gêne énormément le parti dirigé actuellement par Affi N’guessan.
COULIBALY Zoumana