«Le jury accepte votre thèse et vous a jugé digne d’être élevé au grade de docteur en criminologie option sociologie criminelle. On vous décerne, de ce fait, la mention très honorable et vous recommande d’apporter des corrections à votre mémoire».
C’est le verdict qui a sanctionné la soutenance de thèse du lieutenant de la gendarmerie Kouadio Jacques Alex-André qui a eu lieu récemment à l’amphithéâtre de la faculté de criminologie de l’université Félix Houphouët-Boigny. Devant parents, amis et supérieurs hiérarchiques hautement représenté par le commandant supérieur de la gendarmerie, Gervais Kouassi, l’impétrant, pendant trente minutes, a tenté de convaincre le jury présidé par Pr Roch Gnabelli sur sa maîtrise du thème de sa soutenance intitulé : ‘’La politique criminelle en matière de lutte contre le phénomène des coupeurs de route :cas du département de Tiassalé’’. Deux points sur les quatre qui ont meublé l’argumentaire de l’impétrant face au jury méritent d’être relevés.
Notamment, les résultats de son étude et les propositions de solutions pour endiguer le phénomène des coupeurs de route. ‘’Les coupeurs de routes sont généralement des adolescents et il existe quatre types d’acteurs dans le phénomène. Ils usent de simulation et d’embuscade pour immobiliser leurs cibles et utilisent généralement des calibres 12, des pistolets, des kalachnikovs et des armes blanches pour opérer’’. Ce sont entre autres les résultats de l’étude de l’officier de la gendarmerie. Au nombre des solutions pour amoindrir le phénomène, lieutenant Kouadio propose une redéfinition de la politique criminelle en intégrant un volet social, la création d’une unité spéciale pour lutter contre le phénomène, le renforcement des équipements de la gendarmerie, la réhabilitation de l’appareil pénitentiaire, etc. Le jury qui avait semblé ne pas être convaincu de la pertinence des démonstrations de l’impétrant eu égard à leurs critiques et aux imperfections relevées, a fini grâce au directeur de la thèse, Pr Alain Sissoko, par apporter des éléments additionnels au mémoire de l’impétrant. Mieux, Pr Roch Gnabelli et ses pairs, ont consacré le mérite du Lieutenant Kouadio en l’élevant au grade de docteur avec la ferme recommandation d’apporter les corrections nécessaires à son rapport final.
L.Barro
C’est le verdict qui a sanctionné la soutenance de thèse du lieutenant de la gendarmerie Kouadio Jacques Alex-André qui a eu lieu récemment à l’amphithéâtre de la faculté de criminologie de l’université Félix Houphouët-Boigny. Devant parents, amis et supérieurs hiérarchiques hautement représenté par le commandant supérieur de la gendarmerie, Gervais Kouassi, l’impétrant, pendant trente minutes, a tenté de convaincre le jury présidé par Pr Roch Gnabelli sur sa maîtrise du thème de sa soutenance intitulé : ‘’La politique criminelle en matière de lutte contre le phénomène des coupeurs de route :cas du département de Tiassalé’’. Deux points sur les quatre qui ont meublé l’argumentaire de l’impétrant face au jury méritent d’être relevés.
Notamment, les résultats de son étude et les propositions de solutions pour endiguer le phénomène des coupeurs de route. ‘’Les coupeurs de routes sont généralement des adolescents et il existe quatre types d’acteurs dans le phénomène. Ils usent de simulation et d’embuscade pour immobiliser leurs cibles et utilisent généralement des calibres 12, des pistolets, des kalachnikovs et des armes blanches pour opérer’’. Ce sont entre autres les résultats de l’étude de l’officier de la gendarmerie. Au nombre des solutions pour amoindrir le phénomène, lieutenant Kouadio propose une redéfinition de la politique criminelle en intégrant un volet social, la création d’une unité spéciale pour lutter contre le phénomène, le renforcement des équipements de la gendarmerie, la réhabilitation de l’appareil pénitentiaire, etc. Le jury qui avait semblé ne pas être convaincu de la pertinence des démonstrations de l’impétrant eu égard à leurs critiques et aux imperfections relevées, a fini grâce au directeur de la thèse, Pr Alain Sissoko, par apporter des éléments additionnels au mémoire de l’impétrant. Mieux, Pr Roch Gnabelli et ses pairs, ont consacré le mérite du Lieutenant Kouadio en l’élevant au grade de docteur avec la ferme recommandation d’apporter les corrections nécessaires à son rapport final.
L.Barro