Abidjan – L’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) organisera en février une Assemblée générale extraordinaire pour "faire le toilettage des textes", après la non-attribution du super prix Ebony 2013, a annoncé mardi son président, Traoré Moussa, lors d’une cérémonie de récompense des nominés de la dernière édition des Ebony.
"Je vous invite à faire des critiques objectives et constructives dont nous allons tenir compte lors d’une Assemblée générale. Nous devons faire le toilettage des textes et faire les réformes nécessaires parce que nos textes actuels sont dépassés", a déclaré Traoré Moussa.
"Beaucoup de choses sont dites sur la non-attribution du super prix. Je n’ai pas encore réagi mais je vais le faire en temps opportun", a-t-il souligné.
Quelques unes des réformes devraient porter sur les modalités de dépôt des candidatures, le rôle du jury permanent, les critères de récompense ou non des nominés, a-t-il indiqué.
"La force du prix réside dans sa crédibilité. Nous avons été surpris par la décision du jury de ne pas attribuer de prix super Ebony cette année. C’est une sentence lourde pour nous tous. Ce n’est pas une injure mais c’est un défi qui nous est lancé afin de nous mettre au travail", a-t-il commenté, déplorant les propos malveillants sur les réseaux sociaux et dans la presse nationale.
Certaines critiques portent sur l’incapacité de l’UNJCI d’honorer ses engagements en ce qui concerne notamment l’attribution des logements des lauréates de 2011 et 2012.
"Il n’en est rien. La villa de la dernière lauréate (Marcelline Gneproust, en 2012) est prête mais il s’est posé un problème avec l’opérateur qui devait attribuer celle d’Irène Bath (lauréate en 2011). Or il faut d’abord attribuer celle de 2011 avant celle de 2012", s’est-il défendu, faisant valoir qu’il n’a jamais été question non plus d’un "deal avec le jury".
Estimant que la nuit des Ebony est "avant tout la nuit de la célébration de l’excellence journalistique" et que "les prix attribués doivent refléter le niveau réel de notre presse", le jury de l’édition 2013 a décidé, "à l’unanimité de ses sept membres, de ne pas attribuer le super prix Ebony, en raison du niveau moyen de cette édition dont la plus forte note ne dépasse pas 6,5 sur 10", avait justifié le président du jury, Kébé Yacouba.
(AIP)
Aaa/kam
"Je vous invite à faire des critiques objectives et constructives dont nous allons tenir compte lors d’une Assemblée générale. Nous devons faire le toilettage des textes et faire les réformes nécessaires parce que nos textes actuels sont dépassés", a déclaré Traoré Moussa.
"Beaucoup de choses sont dites sur la non-attribution du super prix. Je n’ai pas encore réagi mais je vais le faire en temps opportun", a-t-il souligné.
Quelques unes des réformes devraient porter sur les modalités de dépôt des candidatures, le rôle du jury permanent, les critères de récompense ou non des nominés, a-t-il indiqué.
"La force du prix réside dans sa crédibilité. Nous avons été surpris par la décision du jury de ne pas attribuer de prix super Ebony cette année. C’est une sentence lourde pour nous tous. Ce n’est pas une injure mais c’est un défi qui nous est lancé afin de nous mettre au travail", a-t-il commenté, déplorant les propos malveillants sur les réseaux sociaux et dans la presse nationale.
Certaines critiques portent sur l’incapacité de l’UNJCI d’honorer ses engagements en ce qui concerne notamment l’attribution des logements des lauréates de 2011 et 2012.
"Il n’en est rien. La villa de la dernière lauréate (Marcelline Gneproust, en 2012) est prête mais il s’est posé un problème avec l’opérateur qui devait attribuer celle d’Irène Bath (lauréate en 2011). Or il faut d’abord attribuer celle de 2011 avant celle de 2012", s’est-il défendu, faisant valoir qu’il n’a jamais été question non plus d’un "deal avec le jury".
Estimant que la nuit des Ebony est "avant tout la nuit de la célébration de l’excellence journalistique" et que "les prix attribués doivent refléter le niveau réel de notre presse", le jury de l’édition 2013 a décidé, "à l’unanimité de ses sept membres, de ne pas attribuer le super prix Ebony, en raison du niveau moyen de cette édition dont la plus forte note ne dépasse pas 6,5 sur 10", avait justifié le président du jury, Kébé Yacouba.
(AIP)
Aaa/kam
