La directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a entamé mercredi une visite de trois jours au Mali qui se relève lentement d’une grave crise politique, a annoncé l’institution dans un communiqué.
Arrivée à Bamako, Mme Lagarde a assuré vouloir "renforcer le partenariat"
entre le Fonds monétaire international et le Mali au cours de cette première
visite dans le pays qui n’était pas inscrite à son agenda.
En 2013, le FMI avait au total débloqué quelque 80 millions de dollars pour
aider le Mali à faire face à ses besoins de financement "urgents" après la
crise au nord du pays qui avait conduit, en janvier, à une intervention
militaire conduite par la France.
Un an après cette offensive, le Mali a retrouvé la stabilité politique mais
reste confronté à l’insécurité dans le Nord et à d’immenses défis économiques.
En décembre, le Fonds avait jugé les perspectives du pays "plutôt
positives" (6,6% de croissance économique attendus en 2014) mais pointé les
"risques" d’un "recul" du processus de paix susceptible de saper la confiance
de la communauté internationale, qui a promis en mai 3,25 milliards de dollars
d’aide.
Au Mali, Mme Lagarde, qui vient d’achever une visite au Kenya, rencontrera
notamment le président Ibrahim Boubacar Keïta, des bailleurs de fonds et des
représentants de la société civile, selon le communiqué du Fonds.
La directrice du FMI s’est déjà rendue dans plusieurs pays d’Afrique, dont
la Côte d’Ivoire et l’Afrique du Sud.
Arrivée à Bamako, Mme Lagarde a assuré vouloir "renforcer le partenariat"
entre le Fonds monétaire international et le Mali au cours de cette première
visite dans le pays qui n’était pas inscrite à son agenda.
En 2013, le FMI avait au total débloqué quelque 80 millions de dollars pour
aider le Mali à faire face à ses besoins de financement "urgents" après la
crise au nord du pays qui avait conduit, en janvier, à une intervention
militaire conduite par la France.
Un an après cette offensive, le Mali a retrouvé la stabilité politique mais
reste confronté à l’insécurité dans le Nord et à d’immenses défis économiques.
En décembre, le Fonds avait jugé les perspectives du pays "plutôt
positives" (6,6% de croissance économique attendus en 2014) mais pointé les
"risques" d’un "recul" du processus de paix susceptible de saper la confiance
de la communauté internationale, qui a promis en mai 3,25 milliards de dollars
d’aide.
Au Mali, Mme Lagarde, qui vient d’achever une visite au Kenya, rencontrera
notamment le président Ibrahim Boubacar Keïta, des bailleurs de fonds et des
représentants de la société civile, selon le communiqué du Fonds.
La directrice du FMI s’est déjà rendue dans plusieurs pays d’Afrique, dont
la Côte d’Ivoire et l’Afrique du Sud.