Dans un communiqué publié hier par le Comité d’urgence de la FIF, le travail de l’administrateur provisoire de l’Africa a été salué à sa juste valeur : « L’administrateur provisoire conduit avec détermination le processus de restructuration devant conduire au retour à la normale au sein de l’Africa sports d’Abidjan par l’organisation de deux assemblées générales, l’une le samedi 18 janvier 2014 pour l’adoption de nouveaux textes et l’autre le samedi 25 janvier pour l’élection de nouveaux dirigeants à la tête du club ». En clair, la FIF ne reconnaît pas l’assemblée générale qui a « élu », samedi dernier, Koné Cheick Oumar comme le nouveau PCA de l’Africa sports d’Abidjan. Et le communiqué de poursuivre : «Au moment où ce processus arrive bientôt à son terme, une partie des supporters a initié une action à l’effet d’organiser une assemblée générale. Ces personnes ont été reçues par le Comité d’urgence, par souci d’apaisement, le vendredi 10 janvier 2014 et leurs préoccupations ont été portées à l’attention de l’Administration provisoire. Malgré la disponibilité du Comité d’urgence, ces supporters ont cru nécessaire d’organiser la réunion projetée dont les conclusions, selon la presse, sortent du canevas tracé par la FIF et accepté par tous, excepté Monsieur Koné Cheick Oumar ».
Pour mémoire, l’ex-PCA de l’Africa avait intenté une action en justice en vue d’obtenir la suspension puis l’annulation de la mission de l’Administration provisoire. La Cour d’appel qui, par un arrêt en date du 10 janvier 2014 l’a débouté, a à bon droit souligné que seul le Tribunal arbitral du sport (TAS) a compétence pour connaître de cette affaire et non le juge ordinaire.
Le Comité d’urgence demande aux Membres associés de s’unir pour sortir l’Africa sports d’Abidjan de la crise. Toute action contraire sera frappée de nullité absolue, avertit la FIF.
Ephrem Touboui
Pour mémoire, l’ex-PCA de l’Africa avait intenté une action en justice en vue d’obtenir la suspension puis l’annulation de la mission de l’Administration provisoire. La Cour d’appel qui, par un arrêt en date du 10 janvier 2014 l’a débouté, a à bon droit souligné que seul le Tribunal arbitral du sport (TAS) a compétence pour connaître de cette affaire et non le juge ordinaire.
Le Comité d’urgence demande aux Membres associés de s’unir pour sortir l’Africa sports d’Abidjan de la crise. Toute action contraire sera frappée de nullité absolue, avertit la FIF.
Ephrem Touboui