Grand-Bassam, L’Association des enfants et jeunes travailleurs de Côte d’Ivoire (AEJT-CI), avec le soutien financier et technique de « Save the children », a publié, jeudi, le rapport du dernier trimestre de l’année 2013 sur les cas de violation des droits des enfants dans les départements de Grand-Bassam, Adiaké et Bonoua, notamment sur les cas de viol et de non-déclaration de ces mômes à l’état civil.
Selon l’AEJT-CI, trois cas de viol de filles ont été enregistrés à Grand-Bassam ainsi qu’à Bonoua et 1827 cas de naissances non déclarées à Adiaké.
Selon le présentateur de ces résultats, Ouattara Karamoko Inza, secrétaire national de l’AEJT–CI, la responsabilité de ces violations des droits de l’enfant incombe en grande partie aux parents. Pour le conseiller technique national, Yao Claude, « il s’agit d’informations fiables, vérifiables dont il faut tenir compte. »
En vue de surmonter certaines difficultés pour la réussite de ce projet, Ouattara Karamoko a recommandé aux autorités et à la chefferie traditionnelle la prise en charge des enfants non déclarés, le rapprochement des centres d’état civil de la population à travers des visites mensuelles ou trimestrielles des agents de santé pour enregistrer les naissances, la sensibilisation par les chefs de communauté portant sur les droits de l’enfant et leur respect, la dénonciation des abus et des violences faits aux enfants en évitant les règlements à l’amiable .
L’AEJT-CI vise à faciliter la mise en place d’un plaidoyer adéquat sur les cas identifiés suite à la collecte et à la documentation des différentes violations des droits de l’enfant, souligne-t-on.
(AIP)
Ok/tad/kkp/kam
Selon l’AEJT-CI, trois cas de viol de filles ont été enregistrés à Grand-Bassam ainsi qu’à Bonoua et 1827 cas de naissances non déclarées à Adiaké.
Selon le présentateur de ces résultats, Ouattara Karamoko Inza, secrétaire national de l’AEJT–CI, la responsabilité de ces violations des droits de l’enfant incombe en grande partie aux parents. Pour le conseiller technique national, Yao Claude, « il s’agit d’informations fiables, vérifiables dont il faut tenir compte. »
En vue de surmonter certaines difficultés pour la réussite de ce projet, Ouattara Karamoko a recommandé aux autorités et à la chefferie traditionnelle la prise en charge des enfants non déclarés, le rapprochement des centres d’état civil de la population à travers des visites mensuelles ou trimestrielles des agents de santé pour enregistrer les naissances, la sensibilisation par les chefs de communauté portant sur les droits de l’enfant et leur respect, la dénonciation des abus et des violences faits aux enfants en évitant les règlements à l’amiable .
L’AEJT-CI vise à faciliter la mise en place d’un plaidoyer adéquat sur les cas identifiés suite à la collecte et à la documentation des différentes violations des droits de l’enfant, souligne-t-on.
(AIP)
Ok/tad/kkp/kam