Le ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget, Abdourahmane Cissé a effectué le jeudi 16 janvier une visite de travail à 3 des structures sous tutelle de son nouveau portefeuille ministériel.
La Direction générale des Impôts, la Direction générale des Douanes et la Direction générale du Budget et des Finances ont ainsi été visitées par le plus jeune ministre du gouvernement Duncan. A chacune de ces 3 étapes, le message était le même : «faire passer les directives pour l’année 2014 qui sera marquée par un effort de recouvrement assez fort. Et les attentes du gouvernement aux différentes régies quant au niveau de recouvrement». Abdourahmane Cissé a indiqué le renforcement du contrôle au niveau de l’administration des Impôts pour lutter contre la fraude fiscale.
Les Douanes et les Impôts en avant-garde du recouvrement
A la direction générale des Impôts, Abdourahmane Cissé a tenu à mettre la pression sur les hommes de Pascal Abinan Kouakou. Après avoir salué les performances de 2013, il a exhorté les agents à mettre le cap sur 2014 en dépassant largement les prévisions de recouvrement estimé à 1588 milliards FCFA : « le chiffre que je veux entendre à la fin de l’exercice budgétaire est de 2000 milliards FCFA, car je sais que vous en êtes capables». A la direction générale des Douanes, c’est à un véritable tour du propriétaire que s’est livré Abdourahmane Cissé, qui a eu à visiter le scanner et l’école des Douanes sous la conduite du Directeur général, le Colonel-major Issa Coulibaly. A cette occasion, le directeur général des Douanes a dressé le bilan de l’exercice écoulé qui se chiffre à 1129 milliards FCFA recouvrés contre 1075 prévus. Pour 2014, ce sont des prévisions de 1245 milliards FCFA qui sont annoncés.
Le ministre du Budget dément la pression fiscale
Pour Abdourahmane Cissé, le taux de la pression fiscale en Côte d’Ivoire est de 17% alors que d’autres pays voisins ont des taux de l’ordre de 20%. Une situation qui selon lui, présente un potentiel fiscal de 3% non encore exploité. Sans oublier la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA), qui est en-deçà du niveau de l’économie ivoirienne. Mais à croire le ministre, la volonté du gouvernement n’est pas de créer une pression fiscale mais plutôt un élargissement des assiettes de recouvrement, c’est-à-dire un étalement de la fiscalité à l’ensemble des contribuables.
Franck Ouraga
La Direction générale des Impôts, la Direction générale des Douanes et la Direction générale du Budget et des Finances ont ainsi été visitées par le plus jeune ministre du gouvernement Duncan. A chacune de ces 3 étapes, le message était le même : «faire passer les directives pour l’année 2014 qui sera marquée par un effort de recouvrement assez fort. Et les attentes du gouvernement aux différentes régies quant au niveau de recouvrement». Abdourahmane Cissé a indiqué le renforcement du contrôle au niveau de l’administration des Impôts pour lutter contre la fraude fiscale.
Les Douanes et les Impôts en avant-garde du recouvrement
A la direction générale des Impôts, Abdourahmane Cissé a tenu à mettre la pression sur les hommes de Pascal Abinan Kouakou. Après avoir salué les performances de 2013, il a exhorté les agents à mettre le cap sur 2014 en dépassant largement les prévisions de recouvrement estimé à 1588 milliards FCFA : « le chiffre que je veux entendre à la fin de l’exercice budgétaire est de 2000 milliards FCFA, car je sais que vous en êtes capables». A la direction générale des Douanes, c’est à un véritable tour du propriétaire que s’est livré Abdourahmane Cissé, qui a eu à visiter le scanner et l’école des Douanes sous la conduite du Directeur général, le Colonel-major Issa Coulibaly. A cette occasion, le directeur général des Douanes a dressé le bilan de l’exercice écoulé qui se chiffre à 1129 milliards FCFA recouvrés contre 1075 prévus. Pour 2014, ce sont des prévisions de 1245 milliards FCFA qui sont annoncés.
Le ministre du Budget dément la pression fiscale
Pour Abdourahmane Cissé, le taux de la pression fiscale en Côte d’Ivoire est de 17% alors que d’autres pays voisins ont des taux de l’ordre de 20%. Une situation qui selon lui, présente un potentiel fiscal de 3% non encore exploité. Sans oublier la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA), qui est en-deçà du niveau de l’économie ivoirienne. Mais à croire le ministre, la volonté du gouvernement n’est pas de créer une pression fiscale mais plutôt un élargissement des assiettes de recouvrement, c’est-à-dire un étalement de la fiscalité à l’ensemble des contribuables.
Franck Ouraga