En visite le lundi 20 janvier 2014 à Abidjan, le ministre d’Etat, ministre burkinabé des Affaires étrangères Djibril Bassolé a été reçu en audience par le Président de la République Alassane Ouattara à sa résidence à la Riviera Golf. La situation sociopolitique au Burkina-Faso et au Mali ainsi que celles du Mont Péko étaient au centre des échanges.
Au terme de 45 mn d’échanges, Djibril Bassolé a indiqué avoir fait le point de la situation de son pays à Alassane Ouattara, marqué par un débat sur la révision de la Constitution. « Comme vous le savez, le Président Ouattara, au lendemain de la situation qui a prévalu, a dépêché une délégation de haut niveau pour s’enquérir de la situation auprès du Président Compaoré et de l’ensemble des acteurs de la classe politique. Il y a eu des évolutions et le Président Compaoré a souhaité que je vienne en parler au Président Ouattara. Ce que j’ai fait », a déclaré le chef de la diplomatie burkinabé. Qui a annoncé qu’il effectuera aujourd’hui une visite à Bamako relativement à la mission de la Cedeao sur la situation au Mali.
Comment le Burkina et la Côte d’Ivoire entendent régler le problème de la forêt du mont Péko.
Avant d’être reçu par le chef de l’Etat ivoirien, Djibril Bassolé a eu une séance de travail avec le ministre d’Etat, ministre ivoirien de l’Intérieur Hamed Bakayoko à son cabinet au Plateau sur la situation des populations vivant dans le mont Péko. « Nous avons parlé également de la situation de l’occupation illégale de la forêt du mont Péko. Le Président Ouattara avait fait il y a quelques semaines au Président Compaoré le point de la situation et un certain nombre de suggestions. Il a été question pour nous aujourd’hui d’opérationnaliser cette grande relocalisation et déguerpissement. Le Président a reçu le compte rendu de la séance de travail que nous avons eue qui consiste à arrêter en réalité un calendrier de mise en œuvre en nous entourant du maximum de précautions pour que les populations concernées soient suffisamment bien sensibilisées pour que tout se passe évidemment dans le respect de la légalité pour que nos partenaires au développement , les partenaires financiers, soient associés à l’opération de manière à ce que tout se déroule pour le plus grand bien des populations de nos deux grands pays », a-t-il souligné .
Abdoulaye Touré
Au terme de 45 mn d’échanges, Djibril Bassolé a indiqué avoir fait le point de la situation de son pays à Alassane Ouattara, marqué par un débat sur la révision de la Constitution. « Comme vous le savez, le Président Ouattara, au lendemain de la situation qui a prévalu, a dépêché une délégation de haut niveau pour s’enquérir de la situation auprès du Président Compaoré et de l’ensemble des acteurs de la classe politique. Il y a eu des évolutions et le Président Compaoré a souhaité que je vienne en parler au Président Ouattara. Ce que j’ai fait », a déclaré le chef de la diplomatie burkinabé. Qui a annoncé qu’il effectuera aujourd’hui une visite à Bamako relativement à la mission de la Cedeao sur la situation au Mali.
Comment le Burkina et la Côte d’Ivoire entendent régler le problème de la forêt du mont Péko.
Avant d’être reçu par le chef de l’Etat ivoirien, Djibril Bassolé a eu une séance de travail avec le ministre d’Etat, ministre ivoirien de l’Intérieur Hamed Bakayoko à son cabinet au Plateau sur la situation des populations vivant dans le mont Péko. « Nous avons parlé également de la situation de l’occupation illégale de la forêt du mont Péko. Le Président Ouattara avait fait il y a quelques semaines au Président Compaoré le point de la situation et un certain nombre de suggestions. Il a été question pour nous aujourd’hui d’opérationnaliser cette grande relocalisation et déguerpissement. Le Président a reçu le compte rendu de la séance de travail que nous avons eue qui consiste à arrêter en réalité un calendrier de mise en œuvre en nous entourant du maximum de précautions pour que les populations concernées soient suffisamment bien sensibilisées pour que tout se passe évidemment dans le respect de la légalité pour que nos partenaires au développement , les partenaires financiers, soient associés à l’opération de manière à ce que tout se déroule pour le plus grand bien des populations de nos deux grands pays », a-t-il souligné .
Abdoulaye Touré