Dr N’Guessan Guy Hervé de la direction départementale de la Santé et de la Lutte contre le Sida de Dimbokro, faisant le bilan des activités de lutte contre le Sida, jeudi, a révélé que 482 personnes ont été dépistées positives au cours de l’année 2013.
"Avec 12 structures de dépistage dans le département pour 125 618 habitants, en 2013, les tests ont révélé 482 personnes dépistées séropositives. Mais seulement 24% de patients se sont vu proposer le test de dépistage. Ce qui est très insuffisant. Seuls trois conjoints de femmes dépistées ont accepté de subir le test contre 2% en 2012.
Concernant les femmes de 15 à 49 ans, 80% ont été dépistées séropositives… Grâce au respect des conseils donnés lors des tests et des traitements préventifs, 51 enfants nés de mères dépistées séropositives sont séronégatifs", a indiqué le docteur N’Guessan.
Par ailleurs, le médecin déplore "une importante déperdition d’individus dépistés". Pour ce faire, il invite les partenaires sociaux notamment les Ong et les associations impliquées dans la lutte à "s’investir sérieusement dans la prise en charge sociale de ces personnes, afin qu’elles acceptent de fréquenter les centres et de suivre correctement leur traitement antirétroviraux (Arv)".
Aussi, pour les perspectives 2014, suggère-t-il que soient "coachés" les prestataires de soins sur les nouveaux sites en ce qui concerne les diverses activités, la prescription des Arv, etc. en vue d’une meilleure prise en charge globale.
En outre, Dr N’Guessan souhaite le renforcement des capacités des prestataires de soins dans la compréhension de tous les indicateurs des activités VIH mais aussi les capacités du substitut du gestionnaire des données pour une meilleure compilation et analyse de ces données, de mettre en place un système de référence et de contre-référence et de veiller à son application.
Enfin, le coordonnateur de la lutte contre la pandémie du Sida dans le département de Dimbokro suggère l’élaboration d’un protocole de collaboration avec les Ong pour les patients infectés qui ne fréquentent plus les centres de santé et le rapprochement des soins des patients par un système d’itinérance aux fins d’améliorer le taux de rétention des patients enrôlés dans les soins.
Zgrp/kkp/Ask
"Avec 12 structures de dépistage dans le département pour 125 618 habitants, en 2013, les tests ont révélé 482 personnes dépistées séropositives. Mais seulement 24% de patients se sont vu proposer le test de dépistage. Ce qui est très insuffisant. Seuls trois conjoints de femmes dépistées ont accepté de subir le test contre 2% en 2012.
Concernant les femmes de 15 à 49 ans, 80% ont été dépistées séropositives… Grâce au respect des conseils donnés lors des tests et des traitements préventifs, 51 enfants nés de mères dépistées séropositives sont séronégatifs", a indiqué le docteur N’Guessan.
Par ailleurs, le médecin déplore "une importante déperdition d’individus dépistés". Pour ce faire, il invite les partenaires sociaux notamment les Ong et les associations impliquées dans la lutte à "s’investir sérieusement dans la prise en charge sociale de ces personnes, afin qu’elles acceptent de fréquenter les centres et de suivre correctement leur traitement antirétroviraux (Arv)".
Aussi, pour les perspectives 2014, suggère-t-il que soient "coachés" les prestataires de soins sur les nouveaux sites en ce qui concerne les diverses activités, la prescription des Arv, etc. en vue d’une meilleure prise en charge globale.
En outre, Dr N’Guessan souhaite le renforcement des capacités des prestataires de soins dans la compréhension de tous les indicateurs des activités VIH mais aussi les capacités du substitut du gestionnaire des données pour une meilleure compilation et analyse de ces données, de mettre en place un système de référence et de contre-référence et de veiller à son application.
Enfin, le coordonnateur de la lutte contre la pandémie du Sida dans le département de Dimbokro suggère l’élaboration d’un protocole de collaboration avec les Ong pour les patients infectés qui ne fréquentent plus les centres de santé et le rapprochement des soins des patients par un système d’itinérance aux fins d’améliorer le taux de rétention des patients enrôlés dans les soins.
Zgrp/kkp/Ask