Avec l’adoption des textes nouveaux et l’élection d’Alexis Vagba au poste de président central, l’Africa sports d’Abidjan a clairement affiché sa volonté de renaître à la vie après moult tourments. Désormais dans ses nouveaux habits, il doit résolument remonter à la surface. Un vaste chantier attend donc les nouveaux dirigeants obligés d’insuffler une nouvelle dynamique au club qui a évité la mort subite. Par la faute d’un groupe d’individus n’ayant plus la légitimité pour conduire les affaires, mais qui ont choisi les coups de force et les saisines intempestives de la justice civile comme moyen de maintien au pouvoir. Une option dont l’un des clubs les plus populaires de la Côte d’Ivoire a pâti.
A présent que le calme est revenu, le moment est propice pour tout remettre à flot et explorer d’autres horizons pour faire de l’Africa sports un club moderne, un club qui compte tant sur l’échiquier national qu’international. Mais avant, Vagba Alexis et son équipe doivent ramener la confiance entre les différentes composantes de la grande famille qui n’a nul besoin maintenant de division pour reprendre sa marche en avant. Ils doivent impérativement réconcilier les Membres associés car c’est dans l’union et dans la discipline de tous et de chacun que tout sera possible à l’Africa.
En outre, la mise en place rapide de la société de gestion qui a vocation à s’occuper des aspects financiers et matériels de la gestion doit figurer au centre de leurs préoccupations majeures. Tout retard accusé dans son avènement pourrait pénaliser le club.
L’Africa doit ici et maintenant régler le problème de son camp d’entraînement en attendant des jours meilleurs pour le rendre véritablement moderne. A ce titre, la mise en valeur de l’espace offert par Me Cheickna Sylla (Route de Grand Bassam) doit se faire dans l’urgence pour éviter le nomadisme aux joueurs de la section football. Qui doit mettre le mercato à profit pour recruter « de bons joueurs locaux » et d’utiles athlètes étrangers pour renforcer l’effectif actuel qui ne présente pas suffisamment de garanties de sécurité pour jouer les premiers rôles.
Le handball, le basketball et l’athlétisme ne devront pas être des laissés pour compte parce qu’ils font partie intégrante de l’Africa sports, club omnisports.
Roger Okou Vabé
rogerokou@yahoo.fr
A présent que le calme est revenu, le moment est propice pour tout remettre à flot et explorer d’autres horizons pour faire de l’Africa sports un club moderne, un club qui compte tant sur l’échiquier national qu’international. Mais avant, Vagba Alexis et son équipe doivent ramener la confiance entre les différentes composantes de la grande famille qui n’a nul besoin maintenant de division pour reprendre sa marche en avant. Ils doivent impérativement réconcilier les Membres associés car c’est dans l’union et dans la discipline de tous et de chacun que tout sera possible à l’Africa.
En outre, la mise en place rapide de la société de gestion qui a vocation à s’occuper des aspects financiers et matériels de la gestion doit figurer au centre de leurs préoccupations majeures. Tout retard accusé dans son avènement pourrait pénaliser le club.
L’Africa doit ici et maintenant régler le problème de son camp d’entraînement en attendant des jours meilleurs pour le rendre véritablement moderne. A ce titre, la mise en valeur de l’espace offert par Me Cheickna Sylla (Route de Grand Bassam) doit se faire dans l’urgence pour éviter le nomadisme aux joueurs de la section football. Qui doit mettre le mercato à profit pour recruter « de bons joueurs locaux » et d’utiles athlètes étrangers pour renforcer l’effectif actuel qui ne présente pas suffisamment de garanties de sécurité pour jouer les premiers rôles.
Le handball, le basketball et l’athlétisme ne devront pas être des laissés pour compte parce qu’ils font partie intégrante de l’Africa sports, club omnisports.
Roger Okou Vabé
rogerokou@yahoo.fr
