Il s’est ouvert mardi, et ce durant 48 heures, un séminaire de renforcement de capacités du personnel du ministère de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant sur l’exécution du budget 2014. Cette session, selon la ministre Anne Désiré Oulotto, sera l’occasion de faire le point de l’exécution budgétaire et de partager avec les séminaristes, la vision du Chef de l’Etat en matière de bonne gouvernance.
Le budget étant la traduction chiffrée annuelle de la politique, des activités et des priorités du Gouvernement, il apparaît dès lors, selon la ministre, indispensable de passer en revue les procédures d’exécution et de recevoir les directives et instructions du Gouvernement.
Les crédits budgétaires alloués en 2013 ont été utilisés de façon globalement satisfaisante, a indiqué Anne Désiré Oulotto. En effet, la consommation de 3 550 108 749 FCFA de crédits de fonctionnement, soit 96% des 3 697 331 191FCFA, a permis, entre autres l’équipement en mobiliers de bureau, en matériel informatique de la plupart des services (Cabinet, Directions Centrales, Services extérieurs, EPN), la mise à disposition de fournitures de bureaux ainsi que l’entretien et la maintenance des équipements, l’aide et le secours d’urgence aux sinistrés, indigents et victimes de guerre, a-t-elle expliqué.
Quant aux crédits d’investissement estimés à 1 596 592 586FCFA, leur utilisation à hauteur de 1 350 944 124FCFA, soit 84,60% a permis essentiellement la réhabilitation et la construction totale ou partielle de plusieurs structures (PNOEV, IFEF Vavoua, Pouponnière Yopougon Attié, Complexes Socio-Educatifs…), la mise en œuvre des activités au profit des enfants rendus vulnérables du fait du VIH/SIDA, des victimes de violences basées sur le genre, de promotion du genre.
Toutefois, ces acquis ne doivent en aucun cas, occulter les incohérences et autres dysfonctionnements relevés au cours de la gestion 2013, a reconnu la ministre. Il y a lieu de tirer les meilleures leçons de ces contre-performances et d’y apporter les correctifs indispensables, pour une meilleure exécution du budget 2014, a conseillé Anne Désirée Oulotto.
Ce séminaire de formation permettra non seulement de revisiter les procédures d’exécution des dépenses publiques, mais aussi d’amener les agents du MSFFE de s’imprégner du nouveau dispositif de consommation des crédits budgétaires.
Le budget étant la traduction chiffrée annuelle de la politique, des activités et des priorités du Gouvernement, il apparaît dès lors, selon la ministre, indispensable de passer en revue les procédures d’exécution et de recevoir les directives et instructions du Gouvernement.
Les crédits budgétaires alloués en 2013 ont été utilisés de façon globalement satisfaisante, a indiqué Anne Désiré Oulotto. En effet, la consommation de 3 550 108 749 FCFA de crédits de fonctionnement, soit 96% des 3 697 331 191FCFA, a permis, entre autres l’équipement en mobiliers de bureau, en matériel informatique de la plupart des services (Cabinet, Directions Centrales, Services extérieurs, EPN), la mise à disposition de fournitures de bureaux ainsi que l’entretien et la maintenance des équipements, l’aide et le secours d’urgence aux sinistrés, indigents et victimes de guerre, a-t-elle expliqué.
Quant aux crédits d’investissement estimés à 1 596 592 586FCFA, leur utilisation à hauteur de 1 350 944 124FCFA, soit 84,60% a permis essentiellement la réhabilitation et la construction totale ou partielle de plusieurs structures (PNOEV, IFEF Vavoua, Pouponnière Yopougon Attié, Complexes Socio-Educatifs…), la mise en œuvre des activités au profit des enfants rendus vulnérables du fait du VIH/SIDA, des victimes de violences basées sur le genre, de promotion du genre.
Toutefois, ces acquis ne doivent en aucun cas, occulter les incohérences et autres dysfonctionnements relevés au cours de la gestion 2013, a reconnu la ministre. Il y a lieu de tirer les meilleures leçons de ces contre-performances et d’y apporter les correctifs indispensables, pour une meilleure exécution du budget 2014, a conseillé Anne Désirée Oulotto.
Ce séminaire de formation permettra non seulement de revisiter les procédures d’exécution des dépenses publiques, mais aussi d’amener les agents du MSFFE de s’imprégner du nouveau dispositif de consommation des crédits budgétaires.
