Quinze ans après sa dernière édition, le Forum Investir en Côte d’Ivoire 2014(ICI 2014) a ouvert ses portes hier mercredi 29 janvier à l’Hôtel Ivoire. « Le secteur privé, levier d’une intégration régionale, moteur de croissance pour la Côte d’Ivoire », tel est le thème autour duquel se tient jusqu’au samedi 1er février ce quatrième rendez-vous de présentation des opportunités d’investissements de la Côte d’Ivoire aux quelques 3000 personnes venues de 113 pays. Au nom du Chef de l’Etat, le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan a présidé la cérémonie officielle d’ouverture en présence de plusieurs personnalités dont les Vice-présidents du Ghana et du Nigéria, le Premier ministre du Burkina Faso, du président de la Banque africaine du développement, Donald Kaberuka et de plusieurs autres hauts responsables d’institutions internationales. Le Premier ministre a exprimé la gratitude des autorités ivoiriennes aux participants pour la confiance qu’ils placent en un pays en pleine reconstruction et ambitionnant d’atteindre l’émergence à l’horizon 2020 sous l’égide du Président Alassane Ouattara. D’ailleurs, le Chef du Gouvernement a situé la tenue de ce forum dans le cadre de la réalisation de cet ambitieux projet pour lequel le pays veut se positionner comme un hub sous-régional.
Dans cette perspective, le pays, a-t-il souligné, ambitionne de nouer des partenariats avec les opérateurs économiques du monde entier. « Travailler ensemble est notre leitmotiv et entreprendre davantage », a rassuré le Premier ministre, affirmant à cet effet que « la Côte d’Ivoire vous tend la main pour un partenariat gagnant-gagnant ».
Pour le Premier ministre, l’apport du secteur privé est indéniable pour garantir une croissance forte et inclusive. Et pour lui permettre de jouer pleinement son rôle et l’inciter à investir davantage, le Gouvernement a décidé d’engager des réformes en vue d’améliorer l’environnement des affaires, a indiqué le Premier ministre.
Même s’il s’est félicité des progrès accomplis par le pays au niveau du classement Doing Business, figurant au rang des dix nations les plus réformatrices, le Premier ministre a réitéré la volonté de l’Etat ivoirien de poursuivre les efforts en ce qui concerne la mise en œuvre de réformes structurelles majeures.
En cela, le Premier ministre rejoignait Mme Christine Lagarde, directrice générale du FMI qui, intervenant par visio-conférence, a appelé à la nécessité de poursuivre les réformes structurelles engagées.
Pour la directrice générale du FMI, l’investissement, « surtout l’investissement privé », est essentiel pour la croissance. Elle a appelé à ce que le secteur privé soit rassuré par la poursuite des reformes structurelles engagées. « Le secteur public et le secteur privé doivent joindre leurs forces pour parvenir à une croissance inclusive », a insisté Mme Lagarde.
Indiquant les conditions d’une émergence à l’horizon 2020, elle a soutenu qu’il fallait un investissement privé soutenu par la réalisation d’infrastructures publiques capables de générer une croissance inclusive, c’est-à-dire, une croissance partagée et qui a une incidence sur le quotidien des populations.
Pour sa part, le président de la BAD, Donald Kaberuka a exhorté les autorités ivoiriennes à mettre l’accent sur la sécurité, la justice et la qualité des services publics. Ces facteurs sont ceux qui à ses yeux font la différence et attirent les investisseurs.
Toutefois, le président de la BAD, n’a pas manqué de dire à ceux qui ont fait le déplacement d’Abidjan qu’ils ont eu raison de faire confiance à la Côte d’Ivoire. Car, la BAD elle-même, a-t-il poursuivi, fait confiance au pays. Raison de son retour qu’elle a amorcé.
« La Côte d’Ivoire est un pays de forte croissance dans lequel la BAD est très présente à travers le financement de nombreux projets », a rappelé M. Donald Kaberuka, ajoutant que le Forum ICI 2014 symbolisait la renaissance de l’économie ivoirienne.
Sercom
Dans cette perspective, le pays, a-t-il souligné, ambitionne de nouer des partenariats avec les opérateurs économiques du monde entier. « Travailler ensemble est notre leitmotiv et entreprendre davantage », a rassuré le Premier ministre, affirmant à cet effet que « la Côte d’Ivoire vous tend la main pour un partenariat gagnant-gagnant ».
Pour le Premier ministre, l’apport du secteur privé est indéniable pour garantir une croissance forte et inclusive. Et pour lui permettre de jouer pleinement son rôle et l’inciter à investir davantage, le Gouvernement a décidé d’engager des réformes en vue d’améliorer l’environnement des affaires, a indiqué le Premier ministre.
Même s’il s’est félicité des progrès accomplis par le pays au niveau du classement Doing Business, figurant au rang des dix nations les plus réformatrices, le Premier ministre a réitéré la volonté de l’Etat ivoirien de poursuivre les efforts en ce qui concerne la mise en œuvre de réformes structurelles majeures.
En cela, le Premier ministre rejoignait Mme Christine Lagarde, directrice générale du FMI qui, intervenant par visio-conférence, a appelé à la nécessité de poursuivre les réformes structurelles engagées.
Pour la directrice générale du FMI, l’investissement, « surtout l’investissement privé », est essentiel pour la croissance. Elle a appelé à ce que le secteur privé soit rassuré par la poursuite des reformes structurelles engagées. « Le secteur public et le secteur privé doivent joindre leurs forces pour parvenir à une croissance inclusive », a insisté Mme Lagarde.
Indiquant les conditions d’une émergence à l’horizon 2020, elle a soutenu qu’il fallait un investissement privé soutenu par la réalisation d’infrastructures publiques capables de générer une croissance inclusive, c’est-à-dire, une croissance partagée et qui a une incidence sur le quotidien des populations.
Pour sa part, le président de la BAD, Donald Kaberuka a exhorté les autorités ivoiriennes à mettre l’accent sur la sécurité, la justice et la qualité des services publics. Ces facteurs sont ceux qui à ses yeux font la différence et attirent les investisseurs.
Toutefois, le président de la BAD, n’a pas manqué de dire à ceux qui ont fait le déplacement d’Abidjan qu’ils ont eu raison de faire confiance à la Côte d’Ivoire. Car, la BAD elle-même, a-t-il poursuivi, fait confiance au pays. Raison de son retour qu’elle a amorcé.
« La Côte d’Ivoire est un pays de forte croissance dans lequel la BAD est très présente à travers le financement de nombreux projets », a rappelé M. Donald Kaberuka, ajoutant que le Forum ICI 2014 symbolisait la renaissance de l’économie ivoirienne.
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