Zady Gnagna, Union démocratique des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (UDENSCI) : «Nous sommes très satisfaits de la décision du président de République»
Nous attendons que toutes les banques aient payé les salaires pour vraiment donner notre position. Pour le moment, nous ne savons pas ce qu’il en est réellement puisque tout le monde n’est pas encore payé. Il y a plusieurs cas de figure : il y a les déblocages, les enseignants qui doivent avoir 25% et les médecins qui réclament 400 points ainsi que les fonctionnaires et tout ceci, doit être fait ce mois. Sur le principe de ce qui a été fait, nous sommes très satisfaits de la décision du président de la République Alassane Ouattara. Maintenant nous attendons concrètement ce qui va être réalisé, puisqu’il peut y avoir des erreurs et certains n’ont rien eu et d’autres ont obtenu moins que ce qu’ils devaient avoir.
Kouamé Kra Félix, Secrétaire Général de la FESACI: «C’est la réparation d’une injustice qui a été faite par l’Etat aux fonctionnaires»
Les fonctionnaires nous ont parlé de ce dossier. Chacun d’entre eux s’attendait à ce que des ajouts soient faits sur leurs salaires. Ce n’est pas une augmentation de salaires. C’est la réparation d’une injustice qui a été faite par l’Etat aux fonctionnaires de Côte d’Ivoire. Ils ont constaté que comme l’a dit le ministre de la Fonction Publique, Gnamien Konan, 20% de l’effectif des fonctionnaires ont reçu la régularisation de leurs avancements qui étaient bloqués depuis 1988. Cela va s’étaler sur 5 ans. Si maintenant le président peut procéder à une augmentation de salaires, les fonctionnaires ne peuvent être qu’heureux ! Une décision qui devra permettre d’affecter un pourcentage sur les éléments des composants qui constituent le salaire. Il concerne l’indemnité, de logement, de résidence, de transport, indice etc sur lesquels il est appliqué un taux de soit 1% ou 10 %. Ils pourront ainsi améliorer leur condition de vie et augmenter leur pouvoir d’achat et participer à la croissance du pays.
Traoré Dohia Mamadou, Fédération des Syndicats Autonomes de Côte d’Ivoire (FESACI) :
« Il faut être vigilants pour ne pas que des commerçants augmentent le prix des denrées de première nécessité »
L’ensemble des travailleurs et des fonctionnaires ont très bien pris la décision. Particulièrement ceux qui sont affiliés à la Centrale syndicale FESACI. C’est une situation qui a durée plus de 20 ans et tous les 1er mai, cette revendication est inscrite dans les cahiers de doléances. Et depuis lors, il y a un cumul des indices des avancements qui n’ont pas suivi pour l’ensemble des fonctionnaires. Cette une mesure salutaire et comme l’a expliqué Gnamien Konan, ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, il s’agit d’une dynamique dans laquelle est inscrit le gouvernement. A la fin, tous les fonctionnaires vont en bénéficier avec une incidence en termes de valeurs ajoutées sur leurs salaires. Il faut mettre des balises et être vigilants pour ne pas que des commerçants ou des opérateurs économiques profitent de cette situation pour augmenter le prix des denrées de première nécessité. Ce qui va contribuer à compliquer le coût de la vie déjà catastrophique.
M.P.K.
Nous attendons que toutes les banques aient payé les salaires pour vraiment donner notre position. Pour le moment, nous ne savons pas ce qu’il en est réellement puisque tout le monde n’est pas encore payé. Il y a plusieurs cas de figure : il y a les déblocages, les enseignants qui doivent avoir 25% et les médecins qui réclament 400 points ainsi que les fonctionnaires et tout ceci, doit être fait ce mois. Sur le principe de ce qui a été fait, nous sommes très satisfaits de la décision du président de la République Alassane Ouattara. Maintenant nous attendons concrètement ce qui va être réalisé, puisqu’il peut y avoir des erreurs et certains n’ont rien eu et d’autres ont obtenu moins que ce qu’ils devaient avoir.
Kouamé Kra Félix, Secrétaire Général de la FESACI: «C’est la réparation d’une injustice qui a été faite par l’Etat aux fonctionnaires»
Les fonctionnaires nous ont parlé de ce dossier. Chacun d’entre eux s’attendait à ce que des ajouts soient faits sur leurs salaires. Ce n’est pas une augmentation de salaires. C’est la réparation d’une injustice qui a été faite par l’Etat aux fonctionnaires de Côte d’Ivoire. Ils ont constaté que comme l’a dit le ministre de la Fonction Publique, Gnamien Konan, 20% de l’effectif des fonctionnaires ont reçu la régularisation de leurs avancements qui étaient bloqués depuis 1988. Cela va s’étaler sur 5 ans. Si maintenant le président peut procéder à une augmentation de salaires, les fonctionnaires ne peuvent être qu’heureux ! Une décision qui devra permettre d’affecter un pourcentage sur les éléments des composants qui constituent le salaire. Il concerne l’indemnité, de logement, de résidence, de transport, indice etc sur lesquels il est appliqué un taux de soit 1% ou 10 %. Ils pourront ainsi améliorer leur condition de vie et augmenter leur pouvoir d’achat et participer à la croissance du pays.
Traoré Dohia Mamadou, Fédération des Syndicats Autonomes de Côte d’Ivoire (FESACI) :
« Il faut être vigilants pour ne pas que des commerçants augmentent le prix des denrées de première nécessité »
L’ensemble des travailleurs et des fonctionnaires ont très bien pris la décision. Particulièrement ceux qui sont affiliés à la Centrale syndicale FESACI. C’est une situation qui a durée plus de 20 ans et tous les 1er mai, cette revendication est inscrite dans les cahiers de doléances. Et depuis lors, il y a un cumul des indices des avancements qui n’ont pas suivi pour l’ensemble des fonctionnaires. Cette une mesure salutaire et comme l’a expliqué Gnamien Konan, ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, il s’agit d’une dynamique dans laquelle est inscrit le gouvernement. A la fin, tous les fonctionnaires vont en bénéficier avec une incidence en termes de valeurs ajoutées sur leurs salaires. Il faut mettre des balises et être vigilants pour ne pas que des commerçants ou des opérateurs économiques profitent de cette situation pour augmenter le prix des denrées de première nécessité. Ce qui va contribuer à compliquer le coût de la vie déjà catastrophique.
M.P.K.