Abidjan - Le coordonnateur du programme paix et démocratie de l’Action Parlementaire Mondiale (PGA), le député sénégalais Lamine Thiam, estime que "l’Afrique a le devoir de faire la promotion de la cour pénale internationale".
"En faisant la promotion de la cour pénale internationale, on peut se rendre compte que maintenant les exécutifs, sachant qu’ils ont le droit de rendre compte s’ils arrivent à commettre ou à favoriser la commission de certains types de crimes, cela peut limiter les dégâts. Pour cela maintenant, on a le devoir de faire la promotion de la cour pénale internationale contre l’impunité", a estimé vendredi à Abidjan, le député sénégalais, à l’occasion de la première réunion du groupe de travail sur la lutte contre l’impunité pour les crimes internationaux dans les pays francophones africains.
Selon lui, la Cour pénale internationale permet de circonscrire l’action des dirigeants pour des crimes qu’ils seraient tenté de commettre. " Nous pensons qu’il est important qu’au niveau africain, que cette épée de Damoclès plane sur la tête de nos dirigeants. Il est important que les exécutifs ou bien les hommes qui sont aux affaires, sachent que tout ne leur est pas permis, qu’ils ne peuvent pas commettre des crimes de masse de manière impuni", a-t-il expliqué.
M. Thiam, rappelant par ailleurs que la cour pénale internationale est "attaquée" par certains africains, soutient qu’elle doit exister.
"Nous savons que la cour pénale internationale est attaquée par certains africains, on dit qu’elle est impartiale, on dit qu’elle est faite pour poursuivre les africains, mais il faut que la cour demeure, s’il ya des choses à rectifier, qu’elles soient rectifiées et que tous les hommes épris d’un état de droit, doivent travaillent à sa promotion", a-t-il soutenu.
L’action mondiale des parlementaires (PGA) est un réseau de plus de 1000 parlementaires dans plus de 130 pays à travers le monde qui travaille pour promouvoir les droits de l’homme et la lutte contre l’impunité, souligne-t-on.
Depuis 2001, le PGA a lancé une campagne parlementaire pour l’universalité et l’efficacité du système de la cour pénale internationale afin de soutenir le travail de la CPI et des juridictions nationales pour prévenir, réprimer et remédier à la commission des crimes internationaux les plus graves, notamment, crimes de génocides, crimes contre l’humanité, crimes de guerres et le crime d’agression. (AIP)
Gk/kam
"En faisant la promotion de la cour pénale internationale, on peut se rendre compte que maintenant les exécutifs, sachant qu’ils ont le droit de rendre compte s’ils arrivent à commettre ou à favoriser la commission de certains types de crimes, cela peut limiter les dégâts. Pour cela maintenant, on a le devoir de faire la promotion de la cour pénale internationale contre l’impunité", a estimé vendredi à Abidjan, le député sénégalais, à l’occasion de la première réunion du groupe de travail sur la lutte contre l’impunité pour les crimes internationaux dans les pays francophones africains.
Selon lui, la Cour pénale internationale permet de circonscrire l’action des dirigeants pour des crimes qu’ils seraient tenté de commettre. " Nous pensons qu’il est important qu’au niveau africain, que cette épée de Damoclès plane sur la tête de nos dirigeants. Il est important que les exécutifs ou bien les hommes qui sont aux affaires, sachent que tout ne leur est pas permis, qu’ils ne peuvent pas commettre des crimes de masse de manière impuni", a-t-il expliqué.
M. Thiam, rappelant par ailleurs que la cour pénale internationale est "attaquée" par certains africains, soutient qu’elle doit exister.
"Nous savons que la cour pénale internationale est attaquée par certains africains, on dit qu’elle est impartiale, on dit qu’elle est faite pour poursuivre les africains, mais il faut que la cour demeure, s’il ya des choses à rectifier, qu’elles soient rectifiées et que tous les hommes épris d’un état de droit, doivent travaillent à sa promotion", a-t-il soutenu.
L’action mondiale des parlementaires (PGA) est un réseau de plus de 1000 parlementaires dans plus de 130 pays à travers le monde qui travaille pour promouvoir les droits de l’homme et la lutte contre l’impunité, souligne-t-on.
Depuis 2001, le PGA a lancé une campagne parlementaire pour l’universalité et l’efficacité du système de la cour pénale internationale afin de soutenir le travail de la CPI et des juridictions nationales pour prévenir, réprimer et remédier à la commission des crimes internationaux les plus graves, notamment, crimes de génocides, crimes contre l’humanité, crimes de guerres et le crime d’agression. (AIP)
Gk/kam