Une délégation du Front Populaire Ivoirien conduite par son président Pascal Affi N’Guessan, a visité hier vendredi 31 Janvier 2014 les stands au « Forum ICI 2014 ». Une visite d’encouragement selon Pascal Affi N’Guessan, du Gouvernement ivoirien qu’il faut accompagner par de fortes actions politiques de manière à ce que, ce soit l’ensemble de la situation nationale qui s’améliore.
Monsieur le Président qu’est-ce qu’on peut retenir de votre passage au Forum ICI 2014 ?
Nous sommes venus manifester pour dire qu’en matière de développement, il n’y a pas de clivage politique et que nous sommes tous préoccupés par le développement de notre pays. Surtout, par la reconstruction de notre pays qui passe par le développement du secteur privé. Qui passe par l’investissement privé, et toutes les initiatives qui visent cet objectif, doivent être encouragées. Nous sommes venus là, pour manifester l’intérêt que notre parti, que nos militants, que toute la Côte d’Ivoire accordent à toutes les initiatives visant à donner à la Côte d’Ivoire, les moyens de se redresser, les moyens de sa reconstruction et les moyens de son progrès.
Le Gouvernement a-t-il eu raison d’organiser ce Forum en 2014 ?
Bien sûr, c’est une initiative qui date de longtemps. Le CEPICI ne date pas d’aujourd’hui. Depuis toujours la Côte d’Ivoire a organisé ces genres de manifestations et il y a eu un moment avec les crises successives. Toutes ces opérations ont été suspendues, mais je crois que le fait de l’organiser aujourd’hui, signifie que la Côte d’Ivoire est en train de sortir de la crise. Il faut accompagner ces initiatives économiques par de fortes actions politiques de manière à ce que, ce soit l’ensemble de la situation nationale qui s’améliore.
Quelle a été votre message principal aux investisseurs qui sont venus ?
C’est de les encourager et notre présence déjà est un signal d’encouragement pour bien montrer que la classe politique ivoirienne est déterminée à tout faire pour que la Côte d’Ivoire aille de l’avant, qu’elle ne retombe plus dans la crise, qu’elle consolide la paix, la réconciliation et que l’économie puisse s’appuyer sur un environnement politique assaini.
Quelle sera votre part dans cet élan de relance ?
C’est quand nous aurons reconquis le pouvoir, que nous allons accompagner et amplifier ce mouvement.
Propos recueillis par Dosso Villard
Monsieur le Président qu’est-ce qu’on peut retenir de votre passage au Forum ICI 2014 ?
Nous sommes venus manifester pour dire qu’en matière de développement, il n’y a pas de clivage politique et que nous sommes tous préoccupés par le développement de notre pays. Surtout, par la reconstruction de notre pays qui passe par le développement du secteur privé. Qui passe par l’investissement privé, et toutes les initiatives qui visent cet objectif, doivent être encouragées. Nous sommes venus là, pour manifester l’intérêt que notre parti, que nos militants, que toute la Côte d’Ivoire accordent à toutes les initiatives visant à donner à la Côte d’Ivoire, les moyens de se redresser, les moyens de sa reconstruction et les moyens de son progrès.
Le Gouvernement a-t-il eu raison d’organiser ce Forum en 2014 ?
Bien sûr, c’est une initiative qui date de longtemps. Le CEPICI ne date pas d’aujourd’hui. Depuis toujours la Côte d’Ivoire a organisé ces genres de manifestations et il y a eu un moment avec les crises successives. Toutes ces opérations ont été suspendues, mais je crois que le fait de l’organiser aujourd’hui, signifie que la Côte d’Ivoire est en train de sortir de la crise. Il faut accompagner ces initiatives économiques par de fortes actions politiques de manière à ce que, ce soit l’ensemble de la situation nationale qui s’améliore.
Quelle a été votre message principal aux investisseurs qui sont venus ?
C’est de les encourager et notre présence déjà est un signal d’encouragement pour bien montrer que la classe politique ivoirienne est déterminée à tout faire pour que la Côte d’Ivoire aille de l’avant, qu’elle ne retombe plus dans la crise, qu’elle consolide la paix, la réconciliation et que l’économie puisse s’appuyer sur un environnement politique assaini.
Quelle sera votre part dans cet élan de relance ?
C’est quand nous aurons reconquis le pouvoir, que nous allons accompagner et amplifier ce mouvement.
Propos recueillis par Dosso Villard
