Les membres de la section locale du Syndicat national des exploitants de bois de vêne de Côte d’Ivoire (SNEEBVC) ont élu, samedi à Bouaké, Traoré Soungalo, comme leur président.
Le nouveau président a pour tâche de défendre leurs intérêts à commencer la poursuite des démarches auprès des autorités compétentes, en vue du ramassage des stocks de bois détenu sur parc avant la signature du décret d’interdiction du 25 juillet 2013. Elu à l’unanimité, pour un mandat de quatre ans, il a promis de ne pas trahir la confiance des syndiqués et d’œuvrer pour leur bien-être.
M. Traoré a annoncé comme priorités, l’organisation de la corporation pour le ramassage du bois de vêne dans la légalité, la tranquillité, pour que les pouvoirs publics restent tranquilles, qu’ils sachent que désormais, il y a des interlocuteurs et que tout pourra se faire sans difficulté.
Traoré Soungalo a invité les exploitants encore hésitants à adhérer au mouvement, avant de recommander aux membres du SNEEBVCI de ne pas se fier aux rumeurs mais à venir à la source de l’information, pour la bonne marche du syndicat.
Le nouveau président local du Syndicat national des exploitants de bois de vêne de Côte d’Ivoire qui n’entend pas s’arrêter à la lutte pour le ramassage du bois déjà coupé, prévoit dans son plan d’actions, le renouvellement du couvert forestier par le reboisement avec du bois de vêne et d’autres essences.
Pour l’heure, il devra prendre les dispositions nécessaires, selon les recommandations du bureau national, pour représenter la section de Bouaké à une réunion prévue jeudi à Yamoussoukro, avec le Comité de pilotage chargé de la mise en œuvre et du suivi des dispositions prévues dans l’arrêté interministériel du 23 décembre portant autorisation d’exportation du bois de vêne déjà détenu sur parc à bois et ayant fait l’objet de transformation par les titulaires d’autorisation d’exportation, pour une période transitoire de trois mois.
Ce moratoire de trois mois est prévu par le décret présidentiel du 25 juillet, interdisant l’exploitation, la coupe, le transport, la commercialisation et l’exportation du "Ptérocarpus spp", communément appelé bois de vêne.
Des exploitants regroupés au sein de l’Association pour la promotion d’une exploitation citoyenne et durable des produits forestiers (APEPEF) qui jugent ce délai trop court, étant donné qu'un mois après la signature de l’arrêté, aucun bois n’est sorti des forêts et du pays, avaient manifesté, le 15 janvier à Bouaké et dans d’autres localités où cette essence est exploitée, pour se faire entendre par le gouvernement.
nbf/cmas
Le nouveau président a pour tâche de défendre leurs intérêts à commencer la poursuite des démarches auprès des autorités compétentes, en vue du ramassage des stocks de bois détenu sur parc avant la signature du décret d’interdiction du 25 juillet 2013. Elu à l’unanimité, pour un mandat de quatre ans, il a promis de ne pas trahir la confiance des syndiqués et d’œuvrer pour leur bien-être.
M. Traoré a annoncé comme priorités, l’organisation de la corporation pour le ramassage du bois de vêne dans la légalité, la tranquillité, pour que les pouvoirs publics restent tranquilles, qu’ils sachent que désormais, il y a des interlocuteurs et que tout pourra se faire sans difficulté.
Traoré Soungalo a invité les exploitants encore hésitants à adhérer au mouvement, avant de recommander aux membres du SNEEBVCI de ne pas se fier aux rumeurs mais à venir à la source de l’information, pour la bonne marche du syndicat.
Le nouveau président local du Syndicat national des exploitants de bois de vêne de Côte d’Ivoire qui n’entend pas s’arrêter à la lutte pour le ramassage du bois déjà coupé, prévoit dans son plan d’actions, le renouvellement du couvert forestier par le reboisement avec du bois de vêne et d’autres essences.
Pour l’heure, il devra prendre les dispositions nécessaires, selon les recommandations du bureau national, pour représenter la section de Bouaké à une réunion prévue jeudi à Yamoussoukro, avec le Comité de pilotage chargé de la mise en œuvre et du suivi des dispositions prévues dans l’arrêté interministériel du 23 décembre portant autorisation d’exportation du bois de vêne déjà détenu sur parc à bois et ayant fait l’objet de transformation par les titulaires d’autorisation d’exportation, pour une période transitoire de trois mois.
Ce moratoire de trois mois est prévu par le décret présidentiel du 25 juillet, interdisant l’exploitation, la coupe, le transport, la commercialisation et l’exportation du "Ptérocarpus spp", communément appelé bois de vêne.
Des exploitants regroupés au sein de l’Association pour la promotion d’une exploitation citoyenne et durable des produits forestiers (APEPEF) qui jugent ce délai trop court, étant donné qu'un mois après la signature de l’arrêté, aucun bois n’est sorti des forêts et du pays, avaient manifesté, le 15 janvier à Bouaké et dans d’autres localités où cette essence est exploitée, pour se faire entendre par le gouvernement.
nbf/cmas