Ils ont commencé à passer à la caisse pour percevoir leur premier solde, après leur retour au pays. Au nombre de 33, les ex-FDS avaient le sourire aux lèvres à l’idée de devenir désormais autonome sur le plan financier. Selon Paul Koffi Koffi, ministre auprès du président de la République chargé de la Défense, il s’agit de l’aboutissement d’un long processus commencé par leur identification, puis le croisement des différentes données dans les fichiers de l’Etat-major et du commandement supérieur de la gendarmerie. Désormais, les 33 ex- FDS sont soumises au droit de réserve et ne pourront plus parler à la presse sans autorisation. Le nombre d’ex-FDS exilé est passé à 1900 aujourd’hui.
Editorial Publié le vendredi 7 février 2014 | Le Patriote