Abidjan (Côte d’Ivoire) - Sept étudiants de l’Université Nangui Abrogoua (UNA, ex-Université d’Abobo-Adjamé) reconnus coupables d’actes de violence sur le personnel enseignant et de destructions de biens, ont écopé, vendredi, d’une exclusion temporaire d’un an des universités de Côte d’Ivoire.
Un Conseil de disciplinede l’UNA convoqué, vendredi, pour entendre les motivations réelles des étudiants impliqués dans les violences des 6, 13, 17 et 18 février a radié sept étudiants.
« En lieu et place des concernés, c’est une cohorte de personnes, dont un grand nombre n’ayant pas le statut d’étudiant, qui s’est déporté sur le campus.Massés devant la Présidence, ils menaçaient de forcer l’entrée de cet édifice. Lors de leur dispersion par la Police, ces individus ont causé des dégradations diverses », indique le communiqué de la présidence de l’UNA transmis à APA.
Les dégâts sont énormes. « Casses du véhicule d’un enseignant, du car de l’UNA et d’un véhicule administratif ainsi que la dégradation de certains bâtiments (Salle des appariteurs de l’Amphi A, de la Vice-présidence 2, des guérites, etc.) », précise le texte.
Malgré les menaces, le Conseil a pu délibérer pour rendre les sanctions privant pour une période d’une année académique les étudiants Grogba Vivien Arnaud, Licence/UFR-SFA, Kraidi Assouhoun Roméo Fulgence, Licence/UFR-SFA, Ouattara Clinnangan Daniel, Licence/UFR-SFA, Table Nimsemon Othniel, Licence/UFR-SFA, Aka Koffi Richard, Licence/UFR-SFA, Rabé Marcelin Licence/UFR-SFA et Koffi Konan Fréjus, Licence/ UFR-SFA.
Le gouvernement ivoirien, dans sa politique de réforme de l’Enseignement supérieur, a installé la police universitaire dans les universités publiques du pays afin d’y maintenir l’ordre après le règne de l’ex-puissante Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), marqué par une « période de violence ».
Un Conseil de disciplinede l’UNA convoqué, vendredi, pour entendre les motivations réelles des étudiants impliqués dans les violences des 6, 13, 17 et 18 février a radié sept étudiants.
« En lieu et place des concernés, c’est une cohorte de personnes, dont un grand nombre n’ayant pas le statut d’étudiant, qui s’est déporté sur le campus.Massés devant la Présidence, ils menaçaient de forcer l’entrée de cet édifice. Lors de leur dispersion par la Police, ces individus ont causé des dégradations diverses », indique le communiqué de la présidence de l’UNA transmis à APA.
Les dégâts sont énormes. « Casses du véhicule d’un enseignant, du car de l’UNA et d’un véhicule administratif ainsi que la dégradation de certains bâtiments (Salle des appariteurs de l’Amphi A, de la Vice-présidence 2, des guérites, etc.) », précise le texte.
Malgré les menaces, le Conseil a pu délibérer pour rendre les sanctions privant pour une période d’une année académique les étudiants Grogba Vivien Arnaud, Licence/UFR-SFA, Kraidi Assouhoun Roméo Fulgence, Licence/UFR-SFA, Ouattara Clinnangan Daniel, Licence/UFR-SFA, Table Nimsemon Othniel, Licence/UFR-SFA, Aka Koffi Richard, Licence/UFR-SFA, Rabé Marcelin Licence/UFR-SFA et Koffi Konan Fréjus, Licence/ UFR-SFA.
Le gouvernement ivoirien, dans sa politique de réforme de l’Enseignement supérieur, a installé la police universitaire dans les universités publiques du pays afin d’y maintenir l’ordre après le règne de l’ex-puissante Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), marqué par une « période de violence ».