Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le ministre de l’Enseignement et de la Recherche scientifique, Ibrahim Cissé Bacongo a annoncé, lundi, des sanctions contre les agents de la police universitaire « identifiés » comme les « auteurs » des violences dans deux universités d’Abidjan.
Lundi matin, les cours ont été, à nouveau, perturbés par les étudiants qui refusent de « reprendre » les chemins des amphithéâtres tant que « les agents de la police universitaire » occuperont les différents campus. Face à la situation, les autorités ivoiriennes ont annoncé des « sanctions » contre les auteurs de ces violences.
Dans un communiqué transmis à APA, dans la soirée de lundi, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique « condamne avec fermeté et vigueur » les actes de violences constatées, la semaine dernière, à l'Université Félix Houphouët-Boigny ainsi qu'à l'Université Nangui Abrogoua.
En exprimant sa compassion « aux blessés, victimes de ces violences », le ministère les « assure de sa solidarité et de son soutien matériel et moral » indique le texte signé du porte-parole du ministère soulignant que les agents de la police universitaire, auteurs des violences constatées et « identifiés » seront « sanctionnés » disciplinairement avant d'être « mis à la disposition des autorités compétentes ».
Les jeudi et vendredi derniers, une flambée de violence était survenue dans les deux universités de la capitale économique ivoirienne, ayant fait quatre blessés dont un grièvement et mettant en cause la police universitaire .
Lundi matin, les cours ont été, à nouveau, perturbés par les étudiants qui refusent de « reprendre » les chemins des amphithéâtres tant que « les agents de la police universitaire » occuperont les différents campus. Face à la situation, les autorités ivoiriennes ont annoncé des « sanctions » contre les auteurs de ces violences.
Dans un communiqué transmis à APA, dans la soirée de lundi, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique « condamne avec fermeté et vigueur » les actes de violences constatées, la semaine dernière, à l'Université Félix Houphouët-Boigny ainsi qu'à l'Université Nangui Abrogoua.
En exprimant sa compassion « aux blessés, victimes de ces violences », le ministère les « assure de sa solidarité et de son soutien matériel et moral » indique le texte signé du porte-parole du ministère soulignant que les agents de la police universitaire, auteurs des violences constatées et « identifiés » seront « sanctionnés » disciplinairement avant d'être « mis à la disposition des autorités compétentes ».
Les jeudi et vendredi derniers, une flambée de violence était survenue dans les deux universités de la capitale économique ivoirienne, ayant fait quatre blessés dont un grièvement et mettant en cause la police universitaire .