Vavoua - La décision du Sous-préfet de Vavoua (Centre-Ouest, région du Haut Sassandra), Koné Vakaba, de faire baisser les frais d'établissement de l’extrait d’acte de naissance dans son service, est effective depuis la mi-février, passant désormais de plus de 16 000 fcfa à 500 fcfa, a constaté sur place l’AIP.
En 2009, une marche organisée par un parti politique avait dégénéré et les manifestants avaient incendié les locaux de la sous-préfecture de Vavoua. Ce qui a causé de nombreux désagréments aux populations qui, pour se faire établir un extrait d’acte de naissance, devaient débourser au moins 16 000 fcfa.
Pour garantir l’application effective du paiement des 500 FCFA, M. Koné a rouvert un registre de reconstitution des actes d’Etat civil, en vue de permettre la collecte des copies d’extraits d’actes de naissance anciennement signées par un officier de l’état civil et dont les registres ont été détruits durant les crises successives depuis 2000. L’administrateur veut à terme informatiser l’Etat civil.
Le nouveau sous-préfet se dit « touché » par les nombreux gestes de remerciement des populations depuis l’entrée en vigueur de cette nouvelle mesure, qui vient « amoindrir les souffrances des populations locales qui ont subi les affres de la crise ».
Lors de la réunion de prise de contact avec les autorités coutumières du département, Koné Vakaba avait promis œuvrer pour revoir à la baisse, le coût d’établissement de la copie d’extrait d’acte de naissance dans son service en supprimant tous « les frais illégaux », rappelle-on.
AIP)
sk/fmo/ask
En 2009, une marche organisée par un parti politique avait dégénéré et les manifestants avaient incendié les locaux de la sous-préfecture de Vavoua. Ce qui a causé de nombreux désagréments aux populations qui, pour se faire établir un extrait d’acte de naissance, devaient débourser au moins 16 000 fcfa.
Pour garantir l’application effective du paiement des 500 FCFA, M. Koné a rouvert un registre de reconstitution des actes d’Etat civil, en vue de permettre la collecte des copies d’extraits d’actes de naissance anciennement signées par un officier de l’état civil et dont les registres ont été détruits durant les crises successives depuis 2000. L’administrateur veut à terme informatiser l’Etat civil.
Le nouveau sous-préfet se dit « touché » par les nombreux gestes de remerciement des populations depuis l’entrée en vigueur de cette nouvelle mesure, qui vient « amoindrir les souffrances des populations locales qui ont subi les affres de la crise ».
Lors de la réunion de prise de contact avec les autorités coutumières du département, Koné Vakaba avait promis œuvrer pour revoir à la baisse, le coût d’établissement de la copie d’extrait d’acte de naissance dans son service en supprimant tous « les frais illégaux », rappelle-on.
AIP)
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