Tabou - Le préfet du département de Tabou, Yacouba Doumbia, appelle les populations de Grabo (Sud-ouest, région de San Pedro) à collaborer avec les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) pour faciliter la sécurisation de la frontière ivoiro-libérienne, dix jours après l’attaque de la localité par une vingtaine d’hommes armés venus du Libéria.
« Ce sont les forces régulières de l’Etat de Côte d’Ivoire qui sont venues en remplacement des Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (FANCI). C’est simplement l’appellation qui a changé, sinon c’est la même armée ivoirienne. Tout le monde doit la respecter et collaborer avec elle, car c’est elle qui assure notre sécurité », a déclaré, mercredi, M Doumbia à l’adresse des habitants du village Faitai, situé dans la commune de Grabo, d’où la récente attaques est partie.
Selon le préfet, les populations doivent quotidiennement informer l’armée pour qu’elle soit efficaces dans sa mission d’assurer leur sécurité.
Il a invitant les habitants du département s’étant refugiés au Liberia à rentrer, précisant que tous ceux qui sont déjà retournés au pays, vivent paisiblement et participent au développement et au processus de réconciliation nationale.
Une attaque de villages de la Sous-préfecture de Grabo, le 22 février, a fait quatre morts dont un militaire.
(AIP)
bb/fmo/tm
« Ce sont les forces régulières de l’Etat de Côte d’Ivoire qui sont venues en remplacement des Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (FANCI). C’est simplement l’appellation qui a changé, sinon c’est la même armée ivoirienne. Tout le monde doit la respecter et collaborer avec elle, car c’est elle qui assure notre sécurité », a déclaré, mercredi, M Doumbia à l’adresse des habitants du village Faitai, situé dans la commune de Grabo, d’où la récente attaques est partie.
Selon le préfet, les populations doivent quotidiennement informer l’armée pour qu’elle soit efficaces dans sa mission d’assurer leur sécurité.
Il a invitant les habitants du département s’étant refugiés au Liberia à rentrer, précisant que tous ceux qui sont déjà retournés au pays, vivent paisiblement et participent au développement et au processus de réconciliation nationale.
Une attaque de villages de la Sous-préfecture de Grabo, le 22 février, a fait quatre morts dont un militaire.
(AIP)
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