Yamoussoukro abritera la 40è édition du Rallye Bandama les 14, 15 et 16 mars prochains. A quelques jours du coup d’envoi, Alain Ambrosino, le président de la Fédération ivoirienne de sport automobile (fisa) fait des précisions.
A quel niveau d’organisation êtes-vous, à quelques jours de la 40ème édition du Rallye Bandama à Yamoussoukro ?
Au niveau de l’organisation, le maximum a été fait. Les reconnaissances sont terminées. Tout ce qui est de la sécurité est fin prêt. Il reste encore une dizaine de villages à visiter ce week-end. On a encore notre équipe de sécurité qui va se rendre dans ces villages-là, de façon à boucler ce département sécurité.
Confirmez-vous l’arrivée des équipages étrangers ?
Oui, absolument ! Normalement, aujourd’hui même (mercredi dernier : ndlr), à l’aéroport, la voiture du Rwandais Davite Giancarlo devrait arriver. Elle devait arriver samedi dernier, mais, elle a été bloquée à Lomé pour un problème d’avion. Les pilotes étrangers vont commencer à arriver dès aujourd’hui, vendredi. Ensuite, nous monterons sur Yamoussoukro, mardi prochain, pour commencer les reconnaissances mercredi et jeudi prochains.
Le président de la Fédération internationale et Michèle Mouton, la marraine, seront-là. Comment préparez-vous leur arrivée ?
Il faut vraiment les recevoir de la meilleure façon possible, comme la Côte d’Ivoire a l’habitude de recevoir ses hôtes. C’est extrêmement difficile de pouvoir gérer deux personnes de cette importance. Nous faisons très attention pour ne pas commettre d’impairs et surtout, ne rien oublier de leur visite.
Le Bandama est le premier championnat d’Afrique. Est-ce un signe positif pour la Côte d’Ivoire ?
C’est positif parce que les pilotes qui veulent prendre des points et qui ont l’intention de faire tout le championnat d’Afrique, ont tout intérêt à venir récupérer des points sur cette épreuve. Puisque c’est la première, je pense que c’est une bonne chose pour nous.
La Côte d’Ivoire aura-t-elle un représentant au championnat d’Afrique ?
On l’espère bien. Nous sommes en pourparlers avec deux équipages. En l’occurrence Garry Chaynes et Soumahoro Moriféré. Si on trouve le financement, on espère qu’ils pourront faire le championnat d’Afrique.
Quelle est la particularité de l’édition 2014 de ce 40ème Rallye Bandama ?
La particularité, c’est qu’on essaie de s’améliorer à chaque édition. Cette année, nous allons avoir un nouveau système de chronométrage. Ce qui est déjà important. Il va y avoir aussi deux hélicoptères pour la supervision et beaucoup plus de liaisons radios que les années précédentes.
Un mot à l’endroit des populations qui vont accueillir cette compétition.
On est très bien accueilli à Yamoussoukro. J’espère que la population sera aussi nombreuse que l’année dernière pour participer à cette course. Surtout, sur la super spéciale. On n’avait pas moins de 10.000 personnes sur cet événement l’année dernière. J’espère qu’on en aura encore plus cette année.
Entretien réalisé par Francis Aké
A quel niveau d’organisation êtes-vous, à quelques jours de la 40ème édition du Rallye Bandama à Yamoussoukro ?
Au niveau de l’organisation, le maximum a été fait. Les reconnaissances sont terminées. Tout ce qui est de la sécurité est fin prêt. Il reste encore une dizaine de villages à visiter ce week-end. On a encore notre équipe de sécurité qui va se rendre dans ces villages-là, de façon à boucler ce département sécurité.
Confirmez-vous l’arrivée des équipages étrangers ?
Oui, absolument ! Normalement, aujourd’hui même (mercredi dernier : ndlr), à l’aéroport, la voiture du Rwandais Davite Giancarlo devrait arriver. Elle devait arriver samedi dernier, mais, elle a été bloquée à Lomé pour un problème d’avion. Les pilotes étrangers vont commencer à arriver dès aujourd’hui, vendredi. Ensuite, nous monterons sur Yamoussoukro, mardi prochain, pour commencer les reconnaissances mercredi et jeudi prochains.
Le président de la Fédération internationale et Michèle Mouton, la marraine, seront-là. Comment préparez-vous leur arrivée ?
Il faut vraiment les recevoir de la meilleure façon possible, comme la Côte d’Ivoire a l’habitude de recevoir ses hôtes. C’est extrêmement difficile de pouvoir gérer deux personnes de cette importance. Nous faisons très attention pour ne pas commettre d’impairs et surtout, ne rien oublier de leur visite.
Le Bandama est le premier championnat d’Afrique. Est-ce un signe positif pour la Côte d’Ivoire ?
C’est positif parce que les pilotes qui veulent prendre des points et qui ont l’intention de faire tout le championnat d’Afrique, ont tout intérêt à venir récupérer des points sur cette épreuve. Puisque c’est la première, je pense que c’est une bonne chose pour nous.
La Côte d’Ivoire aura-t-elle un représentant au championnat d’Afrique ?
On l’espère bien. Nous sommes en pourparlers avec deux équipages. En l’occurrence Garry Chaynes et Soumahoro Moriféré. Si on trouve le financement, on espère qu’ils pourront faire le championnat d’Afrique.
Quelle est la particularité de l’édition 2014 de ce 40ème Rallye Bandama ?
La particularité, c’est qu’on essaie de s’améliorer à chaque édition. Cette année, nous allons avoir un nouveau système de chronométrage. Ce qui est déjà important. Il va y avoir aussi deux hélicoptères pour la supervision et beaucoup plus de liaisons radios que les années précédentes.
Un mot à l’endroit des populations qui vont accueillir cette compétition.
On est très bien accueilli à Yamoussoukro. J’espère que la population sera aussi nombreuse que l’année dernière pour participer à cette course. Surtout, sur la super spéciale. On n’avait pas moins de 10.000 personnes sur cet événement l’année dernière. J’espère qu’on en aura encore plus cette année.
Entretien réalisé par Francis Aké
