Man, Les participants à l’atelier de réflexion organisé vendredi à Man par le Conseil Norvégien pour les Réfugiés (NRC) sur les « Droits fonciers de la femme en milieu rural à l’Ouest de la Côte d’Ivoire », se sont engagés à intensifier la sensibilisation des communautés pour un égal accès des hommes et des femmes à la propriété terrienne.
Organisé pour marquer la Journée internationale de la Femme célébrée ce samedi, l’atelier d’échange du NRC visait à convaincre les participants (élus locaux, autorités administratives, chefs de villages et responsables d’associations féminines) de la nécessité de reconnaître à la femme ses droits fonciers, notamment en milieu rural.
"Une reconnaissance des droits fonciers à la femme permettrait aux femmes rurales une autonimisation, et partant, leur pleine participation au développement de la Côte d’Ivoire qui se veut pays émergent à l’horizon 2020", a reconnu l’atelier.
Selon les responsables du NRC qui ont animé l’atelier, le constat du déni des droits fonciers de la femme en milieu rural à l’Ouest de la Côte d’Ivoire est net car les femmes sont impliquées dans 20 pour cent sur 380 conflits constatés.
Le refus de reconnaissance à la femme du droit d’accès à la terre est en violation de la loi soit par ignorance, soit par violence sous le couvert de la tradition, indique-t-on.
gem/cmas
Organisé pour marquer la Journée internationale de la Femme célébrée ce samedi, l’atelier d’échange du NRC visait à convaincre les participants (élus locaux, autorités administratives, chefs de villages et responsables d’associations féminines) de la nécessité de reconnaître à la femme ses droits fonciers, notamment en milieu rural.
"Une reconnaissance des droits fonciers à la femme permettrait aux femmes rurales une autonimisation, et partant, leur pleine participation au développement de la Côte d’Ivoire qui se veut pays émergent à l’horizon 2020", a reconnu l’atelier.
Selon les responsables du NRC qui ont animé l’atelier, le constat du déni des droits fonciers de la femme en milieu rural à l’Ouest de la Côte d’Ivoire est net car les femmes sont impliquées dans 20 pour cent sur 380 conflits constatés.
Le refus de reconnaissance à la femme du droit d’accès à la terre est en violation de la loi soit par ignorance, soit par violence sous le couvert de la tradition, indique-t-on.
gem/cmas