Abidjan, Le directeur général du groupe SIFCA, Bertrand Vignes a annoncé que la Côte d'Ivoire a réalisé une production record de caoutchouc de 165.000 tonnes, soit le tiers de la production africaine.
"En 2013, on a produit environ 165.000 tonnes de caoutchouc, ce qui doit faire un tiers de la production africaine", a déclaré M. Vignes, soulignant que 120.000 tonnes ont été réalisées par la SAPH, filiale du groupe SIFCA, intervenant dans le caoutchouc naturel.
Selon le directeur général de SIFCA, les plantations villageoises représentent plus de la moitié de la production de la SAPH qui sont le résultats des efforts menés par le groupe pour accompagner les planteurs villageois. Ces efforts expliquent la croissance très forte des productions villageoises et du pays, a-t-il ajouté.
M. Vignes a, cependant, dénoncé la taxe de 5% sur le chiffre d'affaires qui affecte le groupe et cours de l'hévéa au niveau des paysans.
"En 2013, la charge fiscale de la SAPH, sans y ajouter les autres taxes, s'établit à 67% du résultat", a déploré M. Vignes. "C'est une charge fiscale qui n'est pas acceptable", a-t-il décrié, tout en souhaitant que des mesures soient prises pour regler cette fiscalité pesant sur l'avenir de la filière.
Bertrand Vignesz s'exprimait à l'occasion d'une conférence de presse organisée à Toupah (Dabou), aux côtés du PCA de SIFCA, Pierre Billon, et du vice-président, Alassane Doumbia. Cette activité s'inscrit dans une série d'initiatives prévues dans le cadre du cinquantenaire, cette année, du plus grand groupe agro-alimentaire ivoirien.
(AIP)
kkf/cmas
"En 2013, on a produit environ 165.000 tonnes de caoutchouc, ce qui doit faire un tiers de la production africaine", a déclaré M. Vignes, soulignant que 120.000 tonnes ont été réalisées par la SAPH, filiale du groupe SIFCA, intervenant dans le caoutchouc naturel.
Selon le directeur général de SIFCA, les plantations villageoises représentent plus de la moitié de la production de la SAPH qui sont le résultats des efforts menés par le groupe pour accompagner les planteurs villageois. Ces efforts expliquent la croissance très forte des productions villageoises et du pays, a-t-il ajouté.
M. Vignes a, cependant, dénoncé la taxe de 5% sur le chiffre d'affaires qui affecte le groupe et cours de l'hévéa au niveau des paysans.
"En 2013, la charge fiscale de la SAPH, sans y ajouter les autres taxes, s'établit à 67% du résultat", a déploré M. Vignes. "C'est une charge fiscale qui n'est pas acceptable", a-t-il décrié, tout en souhaitant que des mesures soient prises pour regler cette fiscalité pesant sur l'avenir de la filière.
Bertrand Vignesz s'exprimait à l'occasion d'une conférence de presse organisée à Toupah (Dabou), aux côtés du PCA de SIFCA, Pierre Billon, et du vice-président, Alassane Doumbia. Cette activité s'inscrit dans une série d'initiatives prévues dans le cadre du cinquantenaire, cette année, du plus grand groupe agro-alimentaire ivoirien.
(AIP)
kkf/cmas