I. Processus de réforme inclusif: solliciter et intégrer les contributions de la société civile, des chefs religieux dans le cadre du Forum interconfessionnel, et des partis d'opposition, pour promouvoir la réforme électorale.
II. Dialogue et réconciliation: s'engager dans le dialogue et la réconciliation auxfins de créer un climat de confiance ; en faire une responsabilité du citoyen, et pas simplement une mission de la CDVR et d'autres mécanismes formels.
III. Composition de la CEl réorganisée: constituer une CEl impartiale et efficace englobant toutes les parties prenantes désireuses de nommer des membres, et s'appuyant sur un processus de prise de décision transparent. Si le dialogue aboutit à une composition tripartite de la CEl, la représentation pourrait émaner des organisations de la société civile (y compris les associations professionnelles et les organismes religieux), des partis politiques (suivant une formule qui assure l'équilibre entre le pouvoir et l'opposition), et des agences gouvernementales concernées pouvant jouer un rôle d'appui dans la gestion efficace des opérations électorales. Cette nouvelle structure devrait représenter une amélioration par rapport à l'actuelle et nécessitera un amendement de la loi de 2001 relative à la commission électorale.
IV. Nouveau fichier électoral: prendre sans tarder les mesures nécessaires pour établir un fichier électoral auquel le public peut sefier. Lefichier préliminaire de 2015 doit être finalisé suffisamment à l'avance, pour permettre au public de vérifier les listes et de rectifier les erreurs. Le fichier préliminaire et le fichier final de 2015 doivent également être mis gratuitement à la disposition des partis politiques et des organisations de la société civile intéressés, dans unformat électronique qui leur permette de vérifier rapidement l'exactitude des données contenues et d'accompagner les efforts qu'ils déploient pour assurer l'inclusion des électeurs éligibles dans les listes.
V. Liberté d'association des partis politiques et responsabilité de contribuer à la cohésion nationale: prendre des mesures garantissant l'exercice par tous les partis politiques de leurs droits constitutionnels à la libre association dans l'ensemble du pays.
VI. Financement public des partis politiques: amender la loi sur le financement public des partis politiques, en y incluant comme critère l'atteinte d'un résultat dépassant un certain seuil- 5 ou 10% par exemple-lors du premier tour de l'élection présidentielle la plus récente.
VII. Restitution des biens des leaders politiques: accélérer les enquêtes en cours sur les biens de certains partis politiques et de leurs leaders
VIII. Sécurité des élections: maintenir l'accélération du processus du DDR, afin de veiller à ce qu'aucuneforce irrégulière ne soit opérationnelle dans le pays lors des préparatifs et durant l'élection de 2015.
IX. Participation de la société civile et renforcement du rôle des ose dans les élections : mettre des ressources à la disposition des ose et des organismes religieux ivoiriens, pour leur permettre de mener d'intenses campagnes d'éducation civique en faveur des électeurs, et de suivre tous les aspects du processus électoral.
X. Programmes novateurs pour les éJections: la société civile ivoirienne doit mutualiser ses efforts sur de nouveaux programmes afin de relever la participation citoyenne aux élections et de renforcer la confiance dans leurs résultats, permettant ainsi de réduire les possibilités de violence électorale.
II. Dialogue et réconciliation: s'engager dans le dialogue et la réconciliation auxfins de créer un climat de confiance ; en faire une responsabilité du citoyen, et pas simplement une mission de la CDVR et d'autres mécanismes formels.
III. Composition de la CEl réorganisée: constituer une CEl impartiale et efficace englobant toutes les parties prenantes désireuses de nommer des membres, et s'appuyant sur un processus de prise de décision transparent. Si le dialogue aboutit à une composition tripartite de la CEl, la représentation pourrait émaner des organisations de la société civile (y compris les associations professionnelles et les organismes religieux), des partis politiques (suivant une formule qui assure l'équilibre entre le pouvoir et l'opposition), et des agences gouvernementales concernées pouvant jouer un rôle d'appui dans la gestion efficace des opérations électorales. Cette nouvelle structure devrait représenter une amélioration par rapport à l'actuelle et nécessitera un amendement de la loi de 2001 relative à la commission électorale.
IV. Nouveau fichier électoral: prendre sans tarder les mesures nécessaires pour établir un fichier électoral auquel le public peut sefier. Lefichier préliminaire de 2015 doit être finalisé suffisamment à l'avance, pour permettre au public de vérifier les listes et de rectifier les erreurs. Le fichier préliminaire et le fichier final de 2015 doivent également être mis gratuitement à la disposition des partis politiques et des organisations de la société civile intéressés, dans unformat électronique qui leur permette de vérifier rapidement l'exactitude des données contenues et d'accompagner les efforts qu'ils déploient pour assurer l'inclusion des électeurs éligibles dans les listes.
V. Liberté d'association des partis politiques et responsabilité de contribuer à la cohésion nationale: prendre des mesures garantissant l'exercice par tous les partis politiques de leurs droits constitutionnels à la libre association dans l'ensemble du pays.
VI. Financement public des partis politiques: amender la loi sur le financement public des partis politiques, en y incluant comme critère l'atteinte d'un résultat dépassant un certain seuil- 5 ou 10% par exemple-lors du premier tour de l'élection présidentielle la plus récente.
VII. Restitution des biens des leaders politiques: accélérer les enquêtes en cours sur les biens de certains partis politiques et de leurs leaders
VIII. Sécurité des élections: maintenir l'accélération du processus du DDR, afin de veiller à ce qu'aucuneforce irrégulière ne soit opérationnelle dans le pays lors des préparatifs et durant l'élection de 2015.
IX. Participation de la société civile et renforcement du rôle des ose dans les élections : mettre des ressources à la disposition des ose et des organismes religieux ivoiriens, pour leur permettre de mener d'intenses campagnes d'éducation civique en faveur des électeurs, et de suivre tous les aspects du processus électoral.
X. Programmes novateurs pour les éJections: la société civile ivoirienne doit mutualiser ses efforts sur de nouveaux programmes afin de relever la participation citoyenne aux élections et de renforcer la confiance dans leurs résultats, permettant ainsi de réduire les possibilités de violence électorale.